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ait de l’Occident. La progression des villes vers
autre chose
, que l’on tentera de caractériser faute de pouvoir le définit, commen
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veaux, on a cessé de feindre que l’économie serve
autre chose
que les seuls intérêts de la nation étatisée, fussent-ils contraires
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nt un historien français : « L’État moderne n’est
autre chose
que le roi des derniers siècles, qui continue triomphalement son labe
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ieures au système. Il s’agit sans délai d’initier
autre chose
, de semer, de planter, de nouer des liens vivants ; d’élaborer tout e
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it des héros). Or, ces rêves n’ont jamais traduit
autre chose
que les vrais désirs qui nous hantent, fût-ce à notre insu. Et il est
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ellement, et que dans toute la mesure où elle est
autre chose
— ensemble de systèmes plus ou moins intégrés, référentiel de converg
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oir en revenir à la période pré-industrielle soit
autre chose
qu’une échappatoire utopique. Nous avons mieux à faire, il n’est plus
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considéré par les fonctionnaires au pouvoir comme
autre chose
qu’un élément de statistique, le millionième d’un pourcentage, élémen
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e disais-je, l’homme est un aliéné. S’il dépend d’
autre chose
que de sa vocation — d’une capitale, d’un mythe, d’une idéologie —, i
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n mini-État-nation. Un vrai fédéraliste veut tout
autre chose
, il veut même à peu près le contraire. La loi française sur la région
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parences historiques. Il se passa en réalité bien
autre chose
durant l’année 1848 : l’achèvement d’une vraie fédération. Ce qui ne
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rtie de la politique ? Que celle-ci serait donc «
autre chose
» ? Mais quelle chose ? On parle de « politique » dans les journaux c
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lutions violentes n’ont jamais abouti en Europe à
autre chose
qu’une tyrannie accrue — la Terreur jacobine à Napoléon, la Révolutio
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te vont l’emporter — de toute façon, ce sera tout
autre chose
— car je n’écris ceci que pour mieux disposer quelques esprits à dési