1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 1. La religion de la croissance
1 ssance vivante, celle de l’herbe, des arbres, des bêtes et de l’homme, et l’accroissement quantitatif dans la production, les
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 5. Naissance de la prospective
2 ne la grande », la Prostituée assise sur l’énorme Bête aux sept têtes et aux dix cornes, comme la Rome impériale régnant sur
3 omme par l’homme et surtout par l’État (la Grande Bête ), abolie ? Mais faute de croire à l’au-delà de l’histoire, à cette su
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 7. Première histoire de fous : l’auto
4 par paresse que par une petite peur d’avoir l’air bête si on les voyait marcher. Un chauffeur de taxi parisien me dit : — Je
5 s à tous les autres membres de la nature, choses, bêtes et anges — le voici devenu sourd à cette harmonie universelle, incapa
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 8. Deuxième histoire de fous : Hitler
6 ens démoniaque du terme, un génie n’est ni fou ni bête , ni sensé ni intelligent. Il ne s’appartient pas, n’a pas de qualités
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
7 ue de s’anéantir, et nous disons : ce serait trop bête  ! Nous venons d’entrevoir la guérison possible. Nous avons les moyens