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u des pluies et des océans, l’air, le silence, la
beauté
d’un paysage, l’aisance à circuler, l’environnement décent et le plai
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d’être d’une cité — transports, marché, culture,
beauté
des perspectives, sécurité, surprises de la rue, vie des places. Chas
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bilité aux facteurs non mesurables de confort, de
beauté
, d’aisance à vivre. On comprend qu’ils n’aient pas enregistré tous le
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et nos habitats — in extremis. Mais que serait la
beauté
du Monde sans l’œil de l’homme ? C’était si beau, la Terre de la Vie,