1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 1. La religion de la croissance
1 parlez du mal. Croiriez-vous au péché, comme les chrétiens d’antan ? — Mon péché, c’est le mal en général, dans la mesure où je
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 5. Naissance de la prospective
2 per qu’au sein d’une civilisation que la religion chrétienne , ses grands docteurs, ses hérétiques et ses Églises, ont longtemps in
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 6. L’avenir sensible au cœur
3 ns d’autres provinces, il semble que les hérésies chrétiennes , qui dressaient les fidèles contre l’autorité du pouvoir religieux, t
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 7. Première histoire de fous : l’auto
4 e l’espèce intégriste (on sait que les colonels «  chrétiens  » sont seuls « fascistes », les autres sont « anti-impérialistes »).
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
5 nt ? À ce critère de moralité plus philistine que chrétienne , on opposera l’observation suivante : Oneida qui réussit à pratiquer
6 s, associations de militants de toutes croyances, chrétiens ou socialistes, écologistes, agrobiologistes ou artisans, éducateurs
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
7 xtrême gauche métaphysique et religieuse (parfois chrétienne ), d’une gauche humaniste, et d’une droite écœurée par le « réalisme »
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
8 de de son sens. (Qui n’est pas limité à « devenez chrétiens  ! ». Isaïe n’était pas chrétien.) Dira-t-on que l’on peut partager de
9 mité à « devenez chrétiens ! ». Isaïe n’était pas chrétien .) Dira-t-on que l’on peut partager de telles idées sur les méfaits de