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parlez du mal. Croiriez-vous au péché, comme les
chrétiens
d’antan ? — Mon péché, c’est le mal en général, dans la mesure où je
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per qu’au sein d’une civilisation que la religion
chrétienne
, ses grands docteurs, ses hérétiques et ses Églises, ont longtemps in
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ns d’autres provinces, il semble que les hérésies
chrétiennes
, qui dressaient les fidèles contre l’autorité du pouvoir religieux, t
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e l’espèce intégriste (on sait que les colonels «
chrétiens
» sont seuls « fascistes », les autres sont « anti-impérialistes »).
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nt ? À ce critère de moralité plus philistine que
chrétienne
, on opposera l’observation suivante : Oneida qui réussit à pratiquer
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s, associations de militants de toutes croyances,
chrétiens
ou socialistes, écologistes, agrobiologistes ou artisans, éducateurs
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xtrême gauche métaphysique et religieuse (parfois
chrétienne
), d’une gauche humaniste, et d’une droite écœurée par le « réalisme »
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de de son sens. (Qui n’est pas limité à « devenez
chrétiens
! ». Isaïe n’était pas chrétien.) Dira-t-on que l’on peut partager de
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mité à « devenez chrétiens ! ». Isaïe n’était pas
chrétien
.) Dira-t-on que l’on peut partager de telles idées sur les méfaits de