1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 2. Le grand litige
1 ndre coût les besoins en énergie électrique de la collectivité nationale50 ». Admettons, mais quels sont les « besoins » dont on par
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 8. Deuxième histoire de fous : Hitler
2 pouvoir de le réaliser. Il en va de même pour une collectivité , mais il faut que des hommes, qu’un homme parle pour elle, soit selon
3 isjoint : la pensée de l’action, l’individu de la collectivité  ; tout s’oppose en conflits stériles ou destructeurs. Je ne puis rien
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 9. Devenir soi-même
4 ce trait commun de désarmer l’individu devant la collectivité , c’est-à-dire en fin de compte devant l’État — le corps des fonctionn
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
5 ante, mais seulement ce qu’on appelle des masses, collectivités fabriquées. Et à l’inverse, sans vraie communauté, point de personnes
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
6 dont la finalité ne soit plus la puissance d’une collectivité (fût-elle spirituelle) mais la liberté des personnes. C’est d’une vue
7 activité du technicien, choisir les actions de la collectivité entre toutes les actions possibles, c’est proprement le domaine de la
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 13. Les variétés de l’expérience régionale
8 uel consiste en une équation entre le bien et une collectivité correspondant à un espace territorial, à savoir la France ; quiconque
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
9 avoir de liberté réelle des citoyens tant que les collectivités dont ils font partie ne sont pas devenues elles-mêmes pleinement resp