1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 2. Le grand litige
1 ge, au moins dans sa première partie. Sans autres compétences que celles d’un citoyen qui a pris la peine d’étudier les dossiers av
2 53. Évaluation des plus discutable. Selon les «  compétences  » consultées, 20 à 30 km2 suffiraient. 54. Cf. Les Amis de la Terre,
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
3 s de tous ordres qui relèveraient normalement des compétences municipales. Les villes de plus d’un million d’habitants commencent à
4 nautaire. Leurs municipalités n’ont plus assez de compétences pour intéresser les citoyens, et elles en gardent trop pour le peu d’
5 t transparent et pratiquement public ; — doté des compétences légales et des moyens financiers nécessaires à son autonomie ; — libé
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 14. L’autogestion politique
6 st nullement exclusive d’un pouvoir politique aux compétences bien définies. Elle ne s’oppose en fait, mais là, radicalement, qu’à
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
7 voirs de décision politique (gouvernement) et des compétences administratives (État) s’opère dorénavant selon cette formule simple 
8 n n’empêchera ces assemblées de faire appel à des compétences reconnues dans les domaines les plus divers, et de les charger d’élab
9 table Parlement européen et de se battre pour ses compétences  : qu’elles soient très fortes quand il s’agira de régler des tâches d