1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 2. Le grand litige
1 ntrales nucléaires, à les entendre, « font fi des conquêtes de la science et entendent nous ramener au Moyen Âge, à la lampe à hu
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 3. La clé du système ou l’État-nation
2 rôle des hommes, l’enracinement au sol ». Cette «  conquête de l’espace et des hommes par l’État n’est pas allée sans peine », aj
3 qui me consterne, c’est sa visée maîtresse : la «  conquête  » puis « le contrôle des hommes par l’État », c’est-à-dire, au fait e
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 7. Première histoire de fous : l’auto
4 s sur le compte de sa fatigue. Neurasthénie. » La conquête du confort matériel l’a laissé oublier les valeurs de l’esprit au poi
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
5 t aujourd’hui présenté, comme « le résultat d’une conquête de l’espace et des hommes (sic) par l’État ». « L’État classique exer
6 t de la personne. J’oserai dire maintenant que la conquête de la personne — qu’elle aboutisse ou qu’elle échoue — et l’effort qu
7 ntre de la société, préfigurent dès maintenant la conquête et l’effort ultimes auxquels pourra jamais prétendre une révolution h
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 14. L’autogestion politique
8 ion ou socialisation, qu’on la présente comme une conquête révolutionnaire ou comme la garantie de l’ordre social, l’étatisation
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
9 e région s’est trouvée rattachée à la suite d’une conquête ou d’une négociation entre les Princes, presque jamais de par son cho