1
est, dès qu’elle est trop grande : une machine à
détruire
la participation politique des citoyens. Cette machine s’enclenche e
2
e motrice historique de la société, d’autre part,
détruit
non seulement la santé physique des ouvriers urbains et la vie intell
3
pas neutre. Chacun voit qu’elle sert mieux ce qui
détruit
(comme la guerre), que ce qui valorise et crée la vie. Et il n’est pa
4
Je viens de rappeler qu’elle sert au mieux ce qui
détruit
la vie. On ne saurait donc s’étonner que ses « percées » coïncident a
5
s inhibiteurs d’enzymes, qui seraient capables de
détruire
sélectivement les hommes d’une certaine ethnie (s’alimentant d’une ce
6
nous faut dépasser si nous voulons survivre, qui
détruisent
à la fois la nature et la communauté des hommes, au nom du prestige d
7
seuls qui en avaient les moyens. Ils ont géré (et
détruit
) ses ressources en vue de leur seule puissance et de leur seul presti
8
l’État de plus en plus totalitaire, les moyens de
détruire
toute une population et son pays, c’est-à-dire la guerre ABC. À chaqu
9
is rien contre l’industrie, même quand elle vient
détruire
le cadre de ma vie et le bonheur de tous mes sens : elle est soutenue
10
ériale régnant sur rois et peuples, mais la voilà
détruite
« en une seule heure… et sa fumée monte au siècle des siècles » (chap
11
vec notre ère totalitaire : la dépersonnalisation
détruit
les engagements civiques, l’expansion excessive appelle la tyrannie m
12
pidou à propos de la voie express qui menaçait de
détruire
les derniers quais de la Seine : « Il est temps que Paris s’adapte à
13
tôt repéré, est envahi par mille campeurs. L’auto
détruit
tout ce qu’elle permet de découvrir, à commencer par les plus beaux p
14
uche qui déclare au journal Le Monde qu’il peut «
détruire
l’économie européenne ». Les émirats détenaient en 1973 une vingtaine
15
parlant par la bouche de Ford : “Inutile, donc à
détruire
.” Ford a raison, une fois de plus. Pas de compromis possible de ce cô
16
et après cela, vous pouvez le supprimer sans rien
détruire
de ce qui s’est fait par lui. Un homme quelconque, transfiguré par sa
17
’être ensemble » demeure vital. La communauté est
détruite
par toutes les forces de dissociation — rationalisme bourgeois ou mar
18
nge des races, universalisme judéo-chrétien — qui
détruisent
les liens organiques et naturels, donc germaniques, même entre les Al
19
ompromis par nos villes qui sont là, difficiles à
détruire
mais impossibles à gouverner ; infecté par nos créations, plutonium e
20
i aliène l’homme d’aujourd’hui c’est aussi ce qui
détruit
les bases de toute communauté vivante. Or, elle seule serait capable
21
its plus haut (première partie), cette machinerie
détruit
toute possibilité de communautés autonomes, menace dès maintenant nos
22
choix personnel, ni le site, ni le cadre naturel,
détruits
, ni le voisinage humain qui demeure inconnu : tout est subi, dans la
23
ojet d’autoroute près de chez nous est inutile et
détruirait
ces beaux domaines, forêts ou champs, coupés en deux, j’ai besoin de
24
ratiquement, repartir à neuf ne saurait signifier
détruire
ce qui existe et veut durer, y étant ou non justifié. Car supposez ce
25
raser les gratte-ciel — un seul a-t-il jamais été
détruit
? — face à l’impasse définitive où se trouvent acculés déjà près de l
26
es ou d’améliorer les voies de communication sans
détruire
nos cultures et nos rues, le problème est le même pour les communes v
27
s seuls, sous forme de « coûts externes » (forêts
détruites
, pollution en tous genres, épuisement des ressources naturelles) taci
28
ur défendre leurs libertés contre l’État. 4. —
Détruire
de grandes réalités historiques ? Je connais bien cet « honnête homme
29
si parce qu’on sait que pour reconstituer l’humus
détruit
en quelques heures par les travaux ou recouvert par la marée montante
30
. Défaire l’État-nation (et je ne dis pas du tout
détruire
l’État) c’est la seule « hérésie » créatrice du xxe siècle. Car avec
31
atiques — ou mieux : théoriquement pratiques — de
détruire
un « système » dont certains de leurs aînés leur ont parlé à partir d
32
nique, dans la mesure où il peut être libérateur.
Détruire
la bourgeoisie (slogan anarchiste) ? Que resterait-il, à part une poi
33
inertie. Je ne vois d’ailleurs plus grand-chose à
détruire
dans notre société atomisée, déstructurée, châtrée de tout principe d
34
l’on approuve plutôt que d’épuiser ses énergies à
détruire
ce que l’on réprouve. Reste, me direz-vous, qu’il faudra bien, un jou
35
empêchera de le faire, c’est l’évidence. Pourquoi
détruire
ce qui conserve sa raison d’être, dès lors que cela ne bloque plus l’