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ont en danger la nation. Et Barère poursuit : Le
fédéralisme
et la superstition parlent bas-breton, l’émigration et la haine de la
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ent est devenu le pont aux ânes de toute critique
fédéraliste
de l’État-nation. On le retrouve de nos jours dans les écrits de J. B
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x tardifs) ; une seule nation souveraine, de type
fédéraliste
; et la question sociale, au lieu de s’exacerber, tend à se résorber
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nu plusieurs exemples, dans les pays où le régime
fédéraliste
n’est pas seulement inscrit dans la constitution, mais pratiqué. Le
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s peut être vu comme le fondateur de la politique
fédéraliste
. Voir aussi sur Althusius l’indispensable et richissime ouvrage de Pi
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pire également, sur ce sujet l’Histoire de l’idée
fédéraliste
, de Bernard Voyenne, Paris, 1976. 124. Carl J. Friedrich, introducti
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. Tout ce latin doit démontrer que le vocabulaire
fédéraliste
est plus ancien que celui de l’État-nation des jacobins, et n’est pas
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lidarité continentale, cette formule dynamique du
fédéralisme
intégral trouve ici sa première expression spontanée. Les troupeaux d
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biologistes ou artisans, éducateurs ou méditants,
fédéralistes
européens ou mondiaux… Cet immense potentiel d’activités ne trouve pa
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dire à l’inverse des formules préconisées par les
fédéralistes
? Je serai le dernier à prendre à la légère une confusion qui porte e
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que sous la forme d’un mini-État-nation. Un vrai
fédéraliste
veut tout autre chose, il veut même à peu près le contraire. La loi f
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listes français, puis reprises par la plupart des
fédéralistes
européens, et concluant à la nécessité des petites unités de base, à
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improviser sur table rase. Les deux constructions
fédéralistes
les plus réussies jusqu’ici portent les traces universelles de leur g
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s aux deux principales expériences historiques du
fédéralisme
. Le but est la liberté des personnes, non la puissance collective de
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s écrit dès 1940 et devais le réitérer au congrès
fédéraliste
de Montreux en 1947 : « Il n’y a, dans le monde du xxe siècle, que d
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ère-plan —, il y a le totalitarisme, et il y a le
fédéralisme
. Une menace et une espérance. Le totalitarisme est simple et rigide,
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ple et rigide, comme la guerre, comme la mort. Le
fédéralisme
est complexe et souple, comme la paix, comme la vie. » Cette antithès
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» Si l’on s’en tient aux nombres, les mouvements
fédéralistes
européens touchent beaucoup plus de jeunes que les sectes gauchistes.
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uvements personnalistes des années 1930, puis aux
fédéralistes
européens ou mondialistes de l’après-guerre. Je vois des signes. L’év
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radio « au niveau de la verticalité ». La méthode
fédéraliste
exige la distinction constamment renouvelée des niveaux décisionnels,
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a marine de guerre française. 189. « L’attitude
fédéraliste
», L’Europe en jeu, Neuchâtel, Éditions de la Baconnière, 1948, p. 80