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is à New York en 1942, trois ans avant la mort du
Führer
: « Hitler s’est tu. L’aventure a pris fin dans la catastrophe prévue
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ommissaire de la SDN, est reçu en audience par le
Führer
: il s’agit d’une ultime tentative pour sauver la paix. Hitler ouvre
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ure du Courrier de Saint-Étienne intitulée : « Le
Führer
a perdu la guerre des nerfs. » Il entre dans une rage folle. « Vous v
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d’une feuille de province : « Pourquoi ? gémit le
Führer
, mais parce que moi je ne suis rien, je n’ai que mon prestige vis-à-v
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gaden, de leur ennui pesant et empesé autour d’un
Führer
silencieux, non qu’il veuille garder secrets ses grands desseins, mai
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eligion sont réservés à d’autres catastrophes. Le
Führer
déclarait un jour : “Je ne crains pas les Ravaillac, parce que ma mis
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ctive. L’effrayant, c’est de voir à quel point le
Führer
ou le Guide de l’inconscient du peuple est en même temps conscient de
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qui naissait des fêtes sacrales organisées par le
Führer
au rythme lent et envoûtant des défilés et des tambours — deux coups