1 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 8. Deuxième histoire de fous : Hitler
1 is à New York en 1942, trois ans avant la mort du Führer  : « Hitler s’est tu. L’aventure a pris fin dans la catastrophe prévue
2 ommissaire de la SDN, est reçu en audience par le Führer  : il s’agit d’une ultime tentative pour sauver la paix. Hitler ouvre
3 ure du Courrier de Saint-Étienne intitulée : « Le Führer a perdu la guerre des nerfs. » Il entre dans une rage folle. « Vous v
4 d’une feuille de province : « Pourquoi ? gémit le Führer , mais parce que moi je ne suis rien, je n’ai que mon prestige vis-à-v
5 gaden, de leur ennui pesant et empesé autour d’un Führer silencieux, non qu’il veuille garder secrets ses grands desseins, mai
6 eligion sont réservés à d’autres catastrophes. Le Führer déclarait un jour : “Je ne crains pas les Ravaillac, parce que ma mis
7 ctive. L’effrayant, c’est de voir à quel point le Führer ou le Guide de l’inconscient du peuple est en même temps conscient de
8 qui naissait des fêtes sacrales organisées par le Führer au rythme lent et envoûtant des défilés et des tambours — deux coups
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 14. L’autogestion politique
9 rançais au xvie siècle. Ein Volk, ein Reich, ein Führer comme le répétèrent les nazis et comme le pensent encore parmi nous l