1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 2. Le grand litige
1 i la licence des centrales à eau légère) ; par la firme allemande Siemens, et à 30 % seulement, par le Commissariat français
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 7. Première histoire de fous : l’auto
2 ors et la Ford Company sont les deux plus grandes firmes du monde. À peine âgée d’un demi-siècle, l’industrie de l’auto domine
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 8. Deuxième histoire de fous : Hitler
3 témique, partant de la puissance des États et des firmes , par là même fausse au-delà du court terme, et bien souvent dès le co
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
4 nes (avec le « complex marriage »), à celui d’une firme comme les autres. Cette faible durée qui semble être la loi, ou plus
5 e reforment) ; enfin Oneida Ltd, 1935, une simple firme  ; « et chacun de ces types aura duré une génération : celle du père,
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 14. L’autogestion politique
6 tive : l’adjectif ne saurait s’appliquer qu’à une firme . Dassault, Fiat, Pechiney peuvent être « compétitifs » avec ce qui se
7 Détroit, à Essen ou à Bâle, mais si l’une de ces firmes s’installait dans Rhône-Alpes, ce serait en vertu de ses seuls intérê
8 bobards du « prestige national » dont les grandes firmes et l’État central seraient seuls à se partager les avantages éventuel