1 le voir, « les résultats des viols répétés de la géographie par l’histoire » comme l’écrit le Prof. J. Ancel. Or, il était fatal

2 aturelle » divisée par l’histoire, qui a violé la géographie une fois de plus. Mais Neuchâtel et la Franche-Comté, un peu plus au

3 nc, elles ont vu cette relation entre histoire et géographie s’inverser aux lendemains de la dernière guerre : ce n’est plus le Mo

4 sépare, mais les décrets de Rome et de Paris. La géographie n’a pas de vertu communautaire en soi. Quand se manifeste le désir d’

5 Cette vision de l’histoire (et du même coup de la géographie , de l’économie, de la sociologie et du civisme) primo est fausse, con

6 e la grande majorité des manuels d’histoire et de géographie des années 1900 à 1914 — pendant lesquelles notre chef d’État faisait

7 is en introduisant dans les leçons d’histoire, de géographie , d’économie, de langues, d’art et d’instruction civique, un angle de

8 égion, l’ai-je assez dit. Commencer l’étude de la géographie , de l’histoire et de l’économie à partir de la région où l’on habite,

9 en date de nos conquérants. L’élève qui aborde la géographie par la région voit bien que les rivières et les fleuves ne s’arrêtent