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e défini que selon les intérêts de l’État, qui le
gère
. D’où la similitude des réactions (hargneuses) à la critique écologiq
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menés par ceux qui se sont arrogé le droit de les
gérer
. Nous avons laissé l’eau, qui est à tout le monde et « la meilleure d
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dans ses déchets accumulés, déchet lui-même, « à
gérer
pendant cent-mille ans » par nos éventuels descendants. La sottise ma
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même période. Ce sont eux, et eux seuls, qui ont
géré
la Terre. Qui s’en sont octroyé le droit. Eux seuls qui en avaient le
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oit. Eux seuls qui en avaient les moyens. Ils ont
géré
(et détruit) ses ressources en vue de leur seule puissance et de leur
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tre l’État-nation, sauf attester qu’il a très mal
géré
la Terre ? Quel pouvoir existant lui opposer, qui ne soit pas de même
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gle ses échéances, assure ses services publics et
gère
ses fonds de réserve. Loin d’être le garant de ses finalités, il doit
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emières. Il y a donc de l’État partout où il faut
gérer
, compter, répartir des travaux, des ressources et des services. Il y
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dvient que les trois gouvernements qui prétendent
gérer
chacun à sa manière son secteur de la même Regio décrètent la constru
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ure, cité, personnes. Et je tiens qu’il s’agit de
gérer
ce système de telle manière que la résultante vécue en soit constamme
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que dans le pouvoir du peuple d’une communauté de
gérer
ses propres affaires. Or, ce pouvoir ne peut être effectif, en mode d
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dépend de l’éducation. L’Europe de l’an 2000 sera
gérée
soit par les Européens, ceux qui ont aujourd’hui de dix à vingt ans e
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ue combinaison des deux derniers. Si l’Europe est
gérée
par les Européens, c’est qu’elle aura réussi son union ; car autremen
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Si donc l’on veut que l’Europe de l’an 2000 soit
gérée
par les Européens, donc fédérée, il faut que l’école cesse d’enseigne
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de certaines tâches sociales définies, mais pour
gérer
l’héritage plus ou moins légitime des États royaux, sans nul rapport