1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 1. La religion de la croissance
1 la population veut dire d’abord croissance de la misère . Car une population doublée en fin de siècle suppose une production a
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 2. Le grand litige
2 r ennemi du progrès, cyniquement insoucieux de la misère du tiers-monde et préférant une image du Passé au bien-être « concret
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 3. La clé du système ou l’État-nation
3 ée qui fait la force du système, en fait aussi la misère intérieure, comme l’a fort bien dit Simone Weil : « Le prestige supér
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 7. Première histoire de fous : l’auto
4 es privilégiées de l’esprit : fortunes oisives ou misères sans espoir. On en rencontre encore parmi les jeunes gens, jusqu’aux
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 8. Deuxième histoire de fous : Hitler
5 d comme Satan lui-même, que de la grandeur de nos misères secrètes111. » Petit, aliéné, prolétaire : ces mots reviennent sans c
6 elles provoquées soit par la cruelle déesse de la Misère , soit par la torche de la parole jetée dans les masses. Seule une tem
7 prêtes à s’enflammer si « la cruelle déesse de la Misère  » les a d’abord conditionnées. Sous toutes ses formes, privées et pub
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
8 nne à choisir — en résumé — entre la guerre et la misère certaine. Nous suivons l’Intendance par une erreur qui tend à devenir