1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 1. La religion de la croissance
1 tre au taux actuel — supposant donc stabilisée la période de doublement, qui pourtant n’a cessé de raccourcir jusqu’à nous, pas
2 à fabriquer l’homme-prothèse. Conditionné dès la période prénatale, toute trace de différence individuelle évacuée par lavage
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 2. Le grand litige
3 ssante ; ou pour le dire en termes nucléaires, de période brève. Le 1er novembre 1972, à Genève, le directeur désigné de la cen
4 rgétique du nucléaire restera négatif pendant une période de neuf à quinze ans52. Curieusement, les États et leurs experts nous
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 3. La clé du système ou l’État-nation
5 États-nations nés et multipliés durant cette même période . Ce sont eux, et eux seuls, qui ont géré la Terre. Qui s’en sont octr
6 e seule fatalité au premier sens, et c’était la «  période  » de demi-vie des éléments radioactifs, naturels ou créés par l’homme
7 ires, comme le plutonium et le thorium. Sur ces «  périodes  », et là seulement, la volonté de l’homme et toute sa science sont d’
8 deux siècles d’âge, et l’on voit bien que leur «  période  » de demi-vie — qui est leur vie dans les esprits actifs, même si ell
9 phètes ce qu’ils croient nécessaire. 59. De la période du charbon, du fer, des chemins de fer et des canons, à celle du pétr
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 4. Un « Essai sur l’avenir » en 1948
10 sont les possibilités constructrices pendant les périodes de paix. On peut penser que l’unilatéralité, la spécialisation de not
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 5. Naissance de la prospective
11 au petit trot et « sous conduite », déduit d’une période de l’histoire qui l’expliquait puisqu’elle le précédait. La décadence
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 7. Première histoire de fous : l’auto
12 en, au contraire, que l’histoire n’a pas connu de période où les directions d’une civilisation apparaissent plus nettement. » U
13 nnaire qui consisterait à vouloir en revenir à la période pré-industrielle soit autre chose qu’une échappatoire utopique. Nous
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 9. Devenir soi-même
14 plastique indestructible et de plutonium à longue période  ; les mégalopoles en croissance de type cancéreux ; les rendements dé
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
15 885. Après trois décennies de guerres coloniales, période de mises au point, de banc d’essai, la conscription universelle a ren
16 es, extraites de l’ouvrage d’un panégyriste de la période classique127, impliquent une véritable déification de l’État. Il pren
17 istères et les garnit de fonctionnaires, fixe une période de trois à dix ans pour « organiser des élections libres », et charge
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
18 table est illustré par l’histoire d’Oneida. Trois périodes définies s’y succèdent en cascade : la communauté primitive, fondée e
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
19 : restaurer l’économie du continent. Et ce fut la période des organisations intergouvernementales : plan Marshall, OECE, Commun