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s, le moteur de la croissance n’a cessé d’être la
préparation
à la guerre (capacité productive, centralisation administrative et mo
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qui ne serve, si indirectement que ce soit, à la
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de la défense nationale, et qui ne puisse s’en prévaloir pour « justi
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des destructions d’écosystèmes justifiées par la
préparation
à la guerre atomique, ses plus fortes motivations à revendiquer les r
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e prétexte à ces concentrations forcées, c’est la
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des guerres, leur conduite et leurs suites qui ont notamment accrédit
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tiale et cause finale, ultima ratio de l’État. La
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à la guerre polarise les économies dites « nationales » et les entraî