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technique mauvaise en soi ? — Non, mais quand je
prétends
que l’avenir est notre affaire, cela veut dire en particulier que nou
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« impératifs techniques », des « lois » que l’on
prétend
découvrir, ni de la « marche inexorable du progrès ». Ils dépendent a
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professeur français, expert du gouvernement, qui
prétend
pouvoir ingérer sans le moindre risque « des légumes gorgés de pluton
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l’une serait la garantie de l’autre, et celui qui
prétend
que sa part nationale vaut plus que le Tout impérial, n’a jamais resp
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nds… ou trop petits pour lui. Trop petits si l’on
prétend
borner son horizon spirituel aux frontières de l’État-nation ; trop g
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ne participation réelle à la vie politique qu’ils
prétendent
monopoliser. Ils sont trop petits pour se défendre seuls, même avec l
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ons pas égarer par les prophètes pessimistes d’un
prétendu
désastre énergétique80. » La crise de l’automne 1973 a non seulement
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s a livrés sans défense au chantage des émirs qui
prétendent
leur dicter la politique à suivre à l’égard d’Israël… Tous nos États-
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t : — Si l’avenir est totalement imprévisible, ne
prétendez
pas gouverner. Mais si l’avenir est entièrement connu, que sert alors
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ne sont pas aussi radicaux. Il serait absurde de
prétendre
que nous ne savons rien de l’avenir, car nous en savons l’essentiel :
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l’homme est imprévisible à lui-même. Tout ce qui
prétend
prévoir pour lui le soumet aux seules lois du passé, et l’aliène.
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uprême ironie de l’histoire, qui n’aime pas qu’on
prétende
la deviner, c’est l’intervention même de certaines prévisions qui a d
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ophismes plus ou moins conscients par lesquels il
prétend
ramener le bénéfice de la production à celui du consommateur. Prenons
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n à l’Univers. » Par la technique, l’Occidental a
prétendu
maîtriser la matière et parvenir à une liberté plus haute. Or, la tec
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ser. Votre désir était à l’origine de ce que vous
prétendez
« subir », et c’est lui que vous condamnez sous le nom de « capitalis
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n’est rien qu’une image en nous119. L’homme qui
prétend
ne pas être là La philosophie contemporaine, en France, est dominée p
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d’une « simple vérification », de saccager ou de
prétendre
organiser. Or, c’est exactement ce que font nos États, et qu’ils fero
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ommes différents, les hommes réels. L’État qui se
prétend
de tous, pour tous — et qui est fait contre chacun. L’État selon Jean
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e) essaient de s’en tirer par l’inflation, qu’ils
prétendent
contrôler. Nos philosophes les imitent en ceci qu’incapables de faire
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t rester le serviteur. Le pire État est celui qui
prétend
concentrer dans ses mains tous les pouvoirs, sur un territoire conqui
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nquête et l’effort ultimes auxquels pourra jamais
prétendre
une révolution humaine. Leur succès serait le terme absolu de la voca
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e. Or, il advient que les trois gouvernements qui
prétendent
gérer chacun à sa manière son secteur de la même Regio décrètent la c
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ce brutale, de profit matériel à court terme, qui
prétend
imposer les centrales nucléaires au mépris des droits populaires, au
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et enfin, au mépris de la justice, à laquelle on
prétend
, une fois de plus, opposer la légalité. Oui, je sais, il y a cette lo
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son service. Aujourd’hui, c’est l’État-nation qui
prétend
mettre au pas l’économie, mais celle-ci se joue de lui, en réalité, p
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t pas moins inévitable, tant que l’État souverain
prétend
tout régler mais ne règle rien. « Que peut-on faire ? Tout se décide
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incompatible avec les raisons d’être de ce qu’il
prétend
défendre ; enfin en mettant l’embargo sur toutes informations devenue
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e. Ce ne sont pas la tradition et le progrès, qui
prétendent
également défendre la liberté. Et ce ne sont pas non plus la justice
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culant les équilibres traditionnels et le confort
prétendu
bourgeois, voyons comment cela se traduit dans la réalité du siècle.