1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 1. La religion de la croissance
1 pour une échelle au moins continentale, ruine les prétentions de nos « souverainetés » (et les efforts pathétiques que la France s’
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 3. La clé du système ou l’État-nation
2 ou bien l’État-nation maintient et même étend ses prétentions au pouvoir exclusif d’administration de la Terre, et dès lors les cal
3 il est foncièrement inadéquat non seulement à ses prétentions exorbitantes, mais encore, et peut-être surtout, aux fonctions normal
4 et leur agir concret, non plus dans leurs seules prétentions . Nous verrons aussitôt que tous, sans exception, sont à la fois trop
5 pouvoirs sur toute la société et d’accroître ses prétentions jusqu’aux domaines les plus privés de l’individu, si nous le ressento
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 12. Que tout appelle les régions
6 dépit des aspects subversifs et illégaux de cette prétention . À Markolsheim en France, à Wyhl en République fédérale, à Kaiseraugs
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 13. Les variétés de l’expérience régionale
7 , est constitutive : elle est déterminée par leur prétention même à la souveraineté absolue. Mais le sentiment d’impuissance (civi
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 14. L’autogestion politique
8 le voyons tous les jours. Mais il y a pire. Toute prétention à uniformiser les individus et leurs comportements aux dépens de la d
9 t seuls à se partager les avantages éventuels. La prétention compétitive serait tout simplement puérile, si l’on ne distinguait, d
10 ose en fait, mais là, radicalement, qu’à la seule prétention totalitaire. Une foi, une loi, un roi comme le disait la Ligue des ca