1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 1. La religion de la croissance
1 t perdue pour la suite. Or, là où nul cycle ne se règle par lui-même, toute limite est externe et posée du dehors. Elle est a
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 2. Le grand litige
2 son système politique, ne doit permettre que les règles de sécurité qui concernent le domaine nucléaire soient fixées par les
3 t suédois, du fait qu’il impose aux centrales des règles strictes de retraitement et de stockage des déchets, « pose des condi
4 preuve irréfutable d’une sécurité absolue ». Ces règles strictes restent d’ailleurs résolument muettes sur les risques les pl
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 3. La clé du système ou l’État-nation
5 ssives, grands rectangles ou trapèzes tracés à la règle sur les cartes de l’Amérique du Nord ou de l’Afrique noire. Il est dé
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 6. L’avenir sensible au cœur
6 responsabilité, s’agissant des personnes. D’où la règle suivante : devant toute innovation technologique, être en mesure de d
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
7 les : Contraindre les individus à se plier à des règles , dont chacune à tout moment, va contre l’intérêt immédiat de tel ou t
8 « tenir son monde » au lieu de servir la cité. La règle d’or du civisme : point de liberté sans responsabilité ne saurait jou
9 le ménage de la communauté. Il tient ses comptes, règle ses échéances, assure ses services publics et gère ses fonds de réser
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
10 fermée serait proportionnelle à la rigueur de sa règle , et qu’à l’inverse, l’orgueil libertaire irait devant l’écrasement ?
11 ociale. Elle ne peut pas durer, sauf à se muer en règle dans son domaine strictement défini. Cette règle devient alors, par l
12 règle dans son domaine strictement défini. Cette règle devient alors, par la force des choses, totalitaire. C’est pourquoi n
13 finition. Dira-t-on que tout ordre, à cause de sa règle , ou toutes communautés de coutume rigoureuse, furent et sont des régi
14 ité, le non-conformisme et le rejet de toutes les règles , à part celle de ce rejet même, toute durée qu’elles peuvent accompli
15 evenir institution, ce qui implique l’adoption de règles fixes, et de coutumes plus ou moins rationnelles (ou rituelles) peu c
16 cles, que la discipline rigoureuse du couvent. La Règle restitue la distance morale dans la proximité physique maîtrisée. L’O
17 à Malte, ou chez les Templiers. La rigueur de la Règle a pour fonction de sauvegarder l’identité de la vocation personnelle
18 z soi et son droit à la différence. La troisième règle ou condition à respecter prend son nom dans les Lettres de saint Paul
19 ré aux jardins d’ombre, cette cité dominée par la règle d’un Ordre, — et nous, les voyageurs, toujours en Quête, nous y seron
20 rres, c’est-à-dire de bêtises démesurées. Une loi règle ces phénomènes. Tout ce qui s’est fait de grand, s’est fait par des p
21 . Moralement ou spirituellement grand, suppose en règle générale matériellement ou numériquement petit. Quoi de grand par les
22 x divergents, ou du non-choix de tel ou telle. En règle générale, les jeunes gens devaient être initiés par une femme ayant f
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 13. Les variétés de l’expérience régionale
23 que l’État souverain prétend tout régler mais ne règle rien. « Que peut-on faire ? Tout se décide là-bas ! » L’existence de
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
24 disait : — Nos frontières actuelles tracées à la règle sur une carte, dans un bureau de Londres ou de Paris, ne riment à rie