1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 1. La religion de la croissance
1 fin le citoyen rétif en un parfait assujetti à la Sécurité sociale. C’est le même complexe de Caligula qui incite nos technologu
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 2. Le grand litige
2 rmes financiers, non pas encore d’environnement ; sécurité  ; nécessités ; finalités de civilisation. — C’est bien cher ! soupir
3 récautions ont été prises », et que les normes de sécurité sont « vingt-cinq fois plus rigoureuses que dans toute autre branche
4 me politique, ne doit permettre que les règles de sécurité qui concernent le domaine nucléaire soient fixées par les personnes l
5 e construire de nouvelles centrales tant que leur sécurité n’est pas mieux assurée ? Le biologiste George Wald, de Harvard, prix
6 eu aux gaines des câbles commandant le système de sécurité . Feu éteint après cinq heures et demie d’incendie, juste avant « l’ac
7 ront en effet fournir la preuve irréfutable d’une sécurité absolue ». Ces règles strictes restent d’ailleurs résolument muettes
8 fonctionnement ou à la déficience des systèmes de sécurité . Beaucoup de ces incidents sont largement susceptibles de se reprodui
9 u’une probabilité de 1 contre 100 000 signifie la sécurité pour cent-mille ans : l’accident peut se produire avant la fin de ma
10 e. L’une veut la liberté d’abord, l’autre veut la sécurité par-dessus tout. Si vous tenez à la sécurité par-dessus tout, vous êt
11 t la sécurité par-dessus tout. Si vous tenez à la sécurité par-dessus tout, vous êtes amené à accepter la logique interne de la
12 l’idée d’assurer leur confort, mais surtout, leur sécurité  : c’est qu’ils veulent être commandés. Et tous les imbéciles répètent
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 3. La clé du système ou l’État-nation
13 ois économiques, sources de la puissance et de la sécurité . L’homme est en train de faire mourir la Terre sensible. C’est une so
14 e — ou qui refuseront d’y subir plus longtemps la sécurité des troupeaux. Je dis bien qu’il s’agit de lutter et de créer en dépi
15 use entre les fictions du pouvoir et le besoin de sécurité des peuples, qui les fait accepter ces fictions comme ils ont accepté
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 5. Naissance de la prospective
16 ndra jamais son point d’éclatement dans l’extase. Sécurité sociale à tout jamais. Nous avons voulu cela La prospective qui
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 7. Première histoire de fous : l’auto
17 yens surpuissants de se venger sur le repos et la sécurité des autres. Rouler devient une fin en soi, et ce besoin dont on a vu
18 sports, marché, culture, beauté des perspectives, sécurité , surprises de la rue, vie des places. Chassant les piétons des artère
6 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 8. Deuxième histoire de fous : Hitler
19 une aventure (en-avanture) autant et plus qu’une sécurité . Il nous faut une image de l’avenir désirable. Pas trop complète et d
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 9. Devenir soi-même
20 ités contradictoires : enracinement ou mobilité ; sécurité ou risque ; fidélité ou quête de l’inconnu ; tradition ou innovation…
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
21 era médusé, c’est-à-dire aveuglé par le besoin de sécurité . Cette hantise dominante explique seule qu’il puisse accepter de subi
22 nos hôpitaux et les écoles de nos enfants, notre sécurité et la justice. Et non pas leur Prestige national, leurs centrales nuc
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
23 urg ». Et de même : « la France n’est pas plus en sécurité que la Belgique, et aucune des deux n’est plus en sécurité que le Lux
24 que la Belgique, et aucune des deux n’est plus en sécurité que le Luxembourg (lequel d’ailleurs a dissous son armée) ». Qu’il s’
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 12. Que tout appelle les régions
25 ement contesté dans son pays, pour des raisons de sécurité et de sauvegarde de l’environnement. Mais l’ensemble de seize réacteu
26 aust ». Il ajoutait que s’il devait choisir entre sécurité , d’une part, pénurie d’énergie et chômage partiel de l’autre, il opte
27 l opterait, quoi qu’il pût lui en coûter, pour la sécurité — c’est-à-dire logiquement et dans l’état présent des choses, contre
28 l’État-nation et sa puissance, subie en tant que sécurité . 2. — Les régions sont l’alternative nécessaire et possible à l’État
11 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 13. Les variétés de l’expérience régionale
29 ue le Luxembourg ». « La France n’est pas plus en sécurité que la Belgique et aucune des deux n’est plus en sécurité que le Luxe
30 que la Belgique et aucune des deux n’est plus en sécurité que le Luxembourg (lequel d’ailleurs a dissous son armée). » Pourquoi
12 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
31 e (trouver un job) et souci fortement anticipé de sécurité (s’assurer la retraite en même temps que le job). On ne s’occupe ni d
32 e civilisation ne peut produire nulle garantie de sécurité égale ou supérieure aux risques par elle-même créés et entretenus. Ab
13 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
33 ce ou liberté, qui tranchera ? Entre le besoin de sécurité à tout prix et la soif de liberté à tous risques, le choix de l’espèc