1 1977, L’Avenir est notre affaire. Première partie. Système de la crise — 1. La religion de la croissance
1 sur « l’océan mondial » (comme disent les savants soviétiques , et ils ont raison, car il occupe à peu près 68 % de la surface de la
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 9. Devenir soi-même
2  ; c’est l’homme occidental et son désir, l’homme soviétique et son espoir, l’homme du tiers-monde et son rêve d’égaler… Et quand
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
3 Cette politique s’oppose au gigantisme américain, soviétique et capitaliste : elle s’oppose à l’émiettement social de la démocrati
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 14. L’autogestion politique
4 , pas de camps nazis ; pour les autres, en Russie soviétique , un système « positif » de rééducation obligatoire mais gratuit, tout
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
5 prévision de Valéry185, soit par des commissaires soviétiques  ; ou par quelque combinaison des deux derniers. Si l’Europe est gérée
6 erstitions rigoureusement communes d’ailleurs aux Soviétiques et aux capitalistes libéraux, en dépit de la « prise du pouvoir » par
7 entaires, ni la dictature fasciste, ni l’étatisme soviétique , n’envisagent la suppression de cette forme moderne de l’esclavage192
8 tadt coupables d’avoir demandé que les dirigeants soviétiques « tiennent compte de l’avis des ouvriers » (Résolution de mars 1921).