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ntraire de ce que « Concorde » symbolise. Le luxe
suprême
de demain, je l’ai défini au lendemain d’Hiroshima : « La lenteur au
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tant des décisions du peuple ou de son Parlement,
suprêmes
instances. Le gouvernement, désormais, sera vu par le peuple comme so
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ats de la science d’hier, qu’ils tiennent pour la
suprême
autorité.) Les notions de choix arbitraire, de subjectivisme, de tran
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aute de croire à l’au-delà de l’histoire, à cette
suprême
Venue qui transcende l’histoire, faute du saut de la foi dans la vie
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es imprévisibles Il y a plus. Par une sorte de
suprême
ironie de l’histoire, qui n’aime pas qu’on prétende la deviner, c’est
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pouvoir et son droit dans l’érection du magistrat
suprême
, l’assister de leur aide et conseil, mettre un frein à sa licence dan
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tion, à l’omission ou à la démission du magistrat
suprême
. » (Politica, 48.) Ces éphores sont au xvie siècle les états générau
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es vengeurs officiels du pacte entre le magistrat
suprême
et le peuple, les défenseurs de la justice et du droit auquel ils sou
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ce et du droit auquel ils soumettent le magistrat
suprême
; et ses censeurs… » On a reconnu nos députés et sénateurs, nos conse
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cte » entre l’exécutif et le peuple. Le magistrat
suprême
— roi, président, collège — intronisé par les éphores au nom du peupl
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e. » Ou enfin : « Si […] le nombre des magistrats
suprêmes
doit être en raison inverse de celui des citoyens, il s’ensuit qu’en
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s tant de l’Ouest que de l’Est invoquent comme le
suprême
recours contre les mesures d’union que tout appelle. Il faut que l’ho