1 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 9. Devenir soi-même
1 de toutes parts, investi dans son corps, dans sa vitalité , irrité dans sa sensibilité par toutes les formes de pollution qu’il
2 tité profonde — tel est l’homme personnel dans sa vitalité . Il trouve sa réalité dans le conflit comme il trouve son bonheur dan
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 10. Passage de la personne à la cité
3 e peut pas décréter un sentiment, une vie, ni une vitalité communautaire. On peut créer un « champ », un jeu de forces, une fasc
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 11. Les variétés de l’expérience communautaire
4 que absolument différencié. Par le seul jeu de sa vitalité , elle deviendra elle-même diversifiante, loin d’uniformiser ses membr
5 issance de l’État, mais qui ne disent rien sur la vitalité ni le bonheur de la nation. La commune, unité de base de la partic
6 renaissantes réveille encore certains réflexes de vitalité libertaire, c’est-à-dire autogestionnaire, trop souvent, et pour trop
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Troisième partie. Repartir de l’homme — 15. Stratégie
7 sque, en fin de compte, tout dépendra de la seule vitalité de notre espèce. L’hypothèse qui me paraît la plus sûre aujourd’hui,
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
8 la chose la moins prévisible du monde, qui est la vitalité d’une société. Mais il nous faut pousser l’analyse sur nous-mêmes : q