1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 la mort de l’Europe, ce qui est très loin d’être évident . S’il s’agit de l’Europe des États plus ou moins « unis » ou « conféd
2 d’un Sénat européen des régions, qui paraît assez évidente pour qu’elle ait de grandes chances de s’imposer, la seule question r
3 la différence tendant à devenir de moins en moins évidente dès qu’il s’agit des grandes options du siècle, telles que productivi
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. I. L’économie
4 rante de l’ensemble économique occidental devient évidente dès l’automne 1973 : il suffirait d’un embargo (par l’URSS peut-être)
5 uences se prolongent et s’amplifient. Mais il est évident qu’à ce motif conjoncturel, aujourd’hui disparu, s’ajoutent des motif
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. II. L’énergie
6 ériels ad hoc. À l’examen, les raisons prétendues évidentes d’accroître sans relâche notre consommation d’énergie se révèlent de
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. IV. Les régions
7 t de 1958). Le lien entre ces deux phénomènes est évident  : il suffit que se lève à l’horizon la possibilité d’une autorité sup
8 péen continental (fédération externe), il devient évident que la région et la fédération européenne ne se feront pas l’une sans
9 notre » pays, mais nos interdépendances désormais évidentes et nos complémentarités réjouissantes. Ainsi se nouera la chaîne des