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Neuf divisés sur leur politique énergétique » — «
Conseil
européen : l’enlisement » — « Les Neuf ont étalé divergences et absen
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ilité dans la communauté de foi jurée et de pacte
fédéral
, puis d’internationale, d’internationalisme et d’arbitrage, enfin de
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, c’est la deuxième Europe qui s’oppose à l’union
fédérale
de nos peuples, seul espoir qui nous soit proposé. Par malheur, c’est
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nous sentions européens, membres d’une communauté
fédérale
d’environ 383 millions d’habitants à l’Ouest (en attendant que les qu
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rédigent un manifeste commun réclamant une union
fédérale
de l’Europe dès la fin des hostilités. Il est temps, disent-ils, de «
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st une Europe grande-allemande » (ex-président du
Conseil
Édouard Daladier). Debré et Marchais dénoncent aujourd’hui le « dange
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ux sont liées dès l’origine à la cause de l’Union
fédérale
de nos peuples. Front vert, autonomies locales et régionales, communa
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nentale, et faute d’institutions communes de type
fédéral
, nos États-nations, retranchés dans leurs souverainetés nationales, n
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est-à-dire dotés de moyens financiers propres, de
conseils
législatifs et d’organes exécutifs agissant à travers les frontières
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bien précise, celle du développement d’une Europe
fédérale
, dit encore Jean-François Deniau. D’où la Commission responsable deva
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européen, d’où le vote à la majorité qualifiée au
Conseil
. Sur le modèle américain, la Commission devait devenir l’exécutif eur
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ssemblée élue la Chambre des représentants, et le
Conseil
des ministres le Sénat. Les faits ont démenti les rêves. » En effet,
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. Les faits ont démenti les rêves. » En effet, le
Conseil
européen des chefs d’État et des Premiers ministres, qui figure aujou
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nstituant le Marché commun ; il n’est pas du tout
fédéral
, et ne peut fonctionner qu’à l’unanimité. L’Assemblée, élue ou non, n
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e une fois les États membres et non pas un organe
fédéral
. C’est dire la déception des vrais européistes, des fédéralistes, par