1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. V. La défense de l’Europe
1 e leur défense, mais de ce qu’il y aurait lieu de défendre par priorité : souveraineté nationale ? système capitaliste ? ou libe
2 s derniers manifestent leur volonté commune de se défendre . « Démographie, héritage culturel commun, puissance industrielle et t
3 e. Les armes nucléaires sont par nature inaptes à défendre nos campagnes, nos villes, nos populations, nos soldats aux prises av
4 les Européens ne prouvent pas leur volonté de se défendre par leur volonté de s’unir. Une réelle défense de l’Europe consistera
5 ’Europe signifie pour nos vies quotidiennes. Mais défendre un pays sans détruire les raisons qu’on a de l’aimer, c’est défendre
6 ns détruire les raisons qu’on a de l’aimer, c’est défendre d’abord son lieu natal — non des frontières invisibles ni un pouvoir
7 e. Combat sur place, seul vraiment motivé. Chacun défend sa terre, les siens, ses biens concrets et affectifs. Chacun défend s
8 es siens, ses biens concrets et affectifs. Chacun défend ses libertés et avec combien plus de conviction que ceux qui les atta
9 par maison, coûte très cher et rapporte peu. Mais défendre un pays de la même manière, voilà ce qu’on peut imaginer non seulemen
10 dépend avant tout de la volonté des Européens de défendre leurs libertés, leurs droits et leurs devoirs civiques. Elle dépend d
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. VII. Programme pour les Européens
11 gle, dans une démocratie, veulent que les députés défendent au Parlement les programmes sur lesquels ils ont été élus. Il va de s