1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 ourrait très bien être la dernière, parce qu’elle détruirait les bases mêmes de toute guerre : les sociétés humaines et leurs civi
2 nnaître des aménagements. On lui reproche d’avoir détruit les structures des petites et moyennes entreprises sous prétexte de m
3 s entreprises sous prétexte de modernisation ; de détruire des produits pour maintenir les prix dans tel ou tel pays. Mais c’est
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. I. L’économie
4 es du tiers-monde non préparées à les recevoir, a détruit encore plus qu’en Europe des biens et des valeurs inestimables d’util
5 ansferts de technologies, afin d’éviter qu’ils ne détruisent les écosystèmes dans les pays récepteurs, puis qu’ils n’augmentent le
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. III. L’environnement
6 , et possiblement de l’oxygène si l’on continue à détruire les principales sources de sa production : le plancton des océans et
7 ction : le plancton des océans et les forêts déjà détruites à 40 % dans le monde depuis 1882. Les rapports entre l’écologie et le
8 équences désastreuses à cet égard : elle pourrait détruire de 20 % à 70 % l’écran vital que forme la couche d’ozone. L’explosion
9 aux troisième et quatrième (perte de sols, forêts détruites ), ils affectent surtout le tiers-monde, mais l’Europe subira inévitab
4 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. V. La défense de l’Europe
10 nos vies quotidiennes. Mais défendre un pays sans détruire les raisons qu’on a de l’aimer, c’est défendre d’abord son lieu natal
5 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. VI. L’Europe et le tiers-monde
11 ui affecte les paysans et les pêcheurs. Enfin, il détruit la faune du delta et de toute la Méditerranée orientale dont il ruine