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ourrait très bien être la dernière, parce qu’elle
détruirait
les bases mêmes de toute guerre : les sociétés humaines et leurs civi
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nnaître des aménagements. On lui reproche d’avoir
détruit
les structures des petites et moyennes entreprises sous prétexte de m
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s entreprises sous prétexte de modernisation ; de
détruire
des produits pour maintenir les prix dans tel ou tel pays. Mais c’est
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es du tiers-monde non préparées à les recevoir, a
détruit
encore plus qu’en Europe des biens et des valeurs inestimables d’util
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ansferts de technologies, afin d’éviter qu’ils ne
détruisent
les écosystèmes dans les pays récepteurs, puis qu’ils n’augmentent le
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, et possiblement de l’oxygène si l’on continue à
détruire
les principales sources de sa production : le plancton des océans et
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ction : le plancton des océans et les forêts déjà
détruites
à 40 % dans le monde depuis 1882. Les rapports entre l’écologie et le
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équences désastreuses à cet égard : elle pourrait
détruire
de 20 % à 70 % l’écran vital que forme la couche d’ozone. L’explosion
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aux troisième et quatrième (perte de sols, forêts
détruites
), ils affectent surtout le tiers-monde, mais l’Europe subira inévitab
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nos vies quotidiennes. Mais défendre un pays sans
détruire
les raisons qu’on a de l’aimer, c’est défendre d’abord son lieu natal
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ui affecte les paysans et les pêcheurs. Enfin, il
détruit
la faune du delta et de toute la Méditerranée orientale dont il ruine