1 n d’un Conseil de l’Europe doté d’une « Assemblée où soient représentées les forces vives de toutes nos nations ». Cette a

2 péenne », mais dans le seul domaine économique. D’ où le retombement des enthousiasmes, la déception et la désaffection dan

3 1948, devait comporter une « Assemblée européenne où seraient représentées les forces vives de toutes nos nations ». En fa

4 rope fédérale, dit encore Jean-François Deniau. D’ où la Commission responsable devant l’Assemblée, elle-même élue au suffr

5 Assemblée, elle-même élue au suffrage européen, d’ où le vote à la majorité qualifiée au Conseil. Sur le modèle américain,

6 x activités culturelles en Europe, dans la mesure où elles intéressent de près ou de loin l’idée de l’union, c’est le Cent

7 lle est en crise. Dans le monde qui nous entoure, où tout est fait de main d’homme, même les paysages et les déserts (surt

8 se ramène aux options et aux désirs de l’homme. D’ où il suit que changer nos désirs — changer nos cœurs comme on disait ja

9 fondamentales, spiritualistes et universelles (d’ où le matérialisme capitaliste ou marxiste et les nationalismes de plus

10 es investissements dans les secteurs de l’Énergie où le capital compte plus que le travail ; en partie au transfert (par l

11 issance illimitée, et dans le même cadre national où ces problèmes se révèlent insolubles par définition. Toutes les étude

12 ée des services publics aux autos privées partout où cela serait à la fois économique (temps, énergie, coûts, efficacité)

13 ômage et à l’accroissement de nos importations. D’ où l’on tire deux conséquences immédiates : 1° Pas d’économie européenne

14 ment suffisantes une fois atteintes par chance. D’ où les sentiments d’insécurité et de frustration qui caractérisent notre

15 eule volonté de profit des grandes entreprises. D’ où la création de petites unités de production, ménageant une plus réell

16 es à l’union, espérer sur un autre plan que celui où l’union s’est révélée impossible. Ces réalités neuves, ou en pleine t

17 77, devrait augmenter sans relâche jusqu’en 2020, où elle atteindrait un total de 44 milliards de TEP10. Mais selon ces mê

18 che, possède beaucoup de lignite et de charbon. D’ où l’on déduit qu’une politique commune s’impose dans le secteur de l’én

19 jusqu’au jour — dans vingt ans, dans trente ans — où la relative pénurie d’énergie primaire (pétrole, puis uranium) à l’éc

20 européenne excluant la pénible situation de 1973, où l’on a vu l’un des Six discriminé, d’autres faisant la cour aux pays

21 détruisant des millions d’hectares de culture, d’ où famines, épidémies, révoltes vaines et meurtrières, etc.) 2° Que par

22 salée pour refroidir les centrales nucléaires, d’ où accroissement des activités économiques sur les zones côtières, d’où

23 s activités économiques sur les zones côtières, d’ où nouveau risque de déséquilibre écologique sur un littoral déjà fragil

24 et machines, licences et pollutions dans des pays où la réglementation est moins sévère, voire inexistante — quitte à crée

25 , une fin de non-recevoir anticipée dès l’instant où une solution communautaire (transfrontalière, continentale ou planéta

26 pourront être surmontées que dans la seule mesure où seront surmontés les dogmes du profit financier privé et de la souver

27 ormés en aéroports et en docks pour pétroliers, d’ où destruction de la faune marine, etc.) 2. La lutte contre l’accroissem

28 rrait entraîner la fonte des calottes polaires, d’ où une élévation du niveau des mers suffisante pour noyer toutes les vil

29 u’elles doivent protester et se faire entendre là où c’est encore possible, là où il n’est pas déjà trop tard. Il faut sou

30 se faire entendre là où c’est encore possible, là où il n’est pas déjà trop tard. Il faut souligner fortement le fait que

31 oins conscients), tournés vers un avenir prochain où l’homme pourra de nouveau faire entendre sa voix, agir en citoyen à l

32 ion civique, sont en train de se dessiner là même où nul problème ethnique et linguistique, et nul défi économique ne suff

33 e, pays de langue et de confession différentes. D’ où le mouvement séparatiste (et pas seulement autonomiste) qui s’est rév

34 ilation forcée du plus faible par le plus fort. D’ où , sans nul doute, la crainte perpétuelle manifestée par ces mêmes État

35 éation de communautés efficaces et pacifiques, là où le centralisme napoléonien a manifestement échoué. Il faut inverser l

36 ions, si l’on en croit les sondages d’opinion. D’ où vient cette contradiction entre le souci réel des peuples et le disco

37 lement. Quel est le sens de cette compétition ? D’ où la faiblesse frappante des motivations que l’on observe dans nos popu

38 e contre les chars. 37. Dans une première phase, où les États-nations existeraient encore seuls et absolus (par leurs pré

39 dentaux n’en avaient jamais montré à son égard. D’ où la convergence remarquable entre le désir de développement industriel

40 mont. Il provoque la formation en aval de lagunes où se développe la bilharziose, grave maladie infectieuse qui affecte le

41 « donner ». Tout cela charge l’Europe d’abord, d’ où tout est né, d’une responsabilité à l’égard du tiers-monde non seulem

42 e). Ils veulent au contraire une société mondiale où la différence soit non seulement reconnue mais cultivée. Ils demanden

43 au surplus que l’homme ne peut être libre que là où il est responsable ; et qu’il ne sera jamais responsable dans les vil

44 ent des régions, non des Nations. Des communautés où la voix d’un homme puisse porter de telle manière que l’on puisse lui

45 icipation des citoyens aux décisions publiques. D’ où  : petites unités de production et d’emploi stabilisé. Raccourcir le t

46 d à un accroissement de 3,9 % par rapport à 1977, où l’accroissement sur 1976 avait été de 9,4 %. En 1978, quatre États me