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s de la paix et du maintien des libertés, donc du
progrès
des responsabilités civiques ? « L’Europe c’est fini », dit la presse
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iers et pendant longtemps les seuls à nommer le «
Progrès
». Le bonheur, le salut de l’humanité, et tout simplement : son bien-
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emps de changer de cap ? De réviser les dogmes du
progrès
matériel, de la croissance illimitée de tout et de n’importe quoi, du
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e Europe » : elle a été la première à inventer le
Progrès
, puis la première à prendre conscience de ses erreurs d’orientation.
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changer de cap et de rectifier la conception du «
Progrès
» qu’elle a lancée dans le monde entier et que les sociétés les plus
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ons les plus typiques, parmi lesquelles l’idée de
Progrès
matériel, l’idéal de l’État-nation centralisé et de sa « souveraineté
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erstitions spécifiques, telles que la Science, le
Progrès
, les nationalismes et la Croissance illimitée de tout. Cet échec poli
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aire prendre leurs projets pour des impératifs du
Progrès
, et leurs désirs pour nos fatalités. Pour tous les autres, il faut bi
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autres, il faut bien constater que les « lois du
Progrès
économique » apportent aux hommes d’aujourd’hui autant de stress que
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ccidentale et l’horizon toujours plus sombre du «
progrès
», selon le credo du xixe européen adopté par les masses mondiales d
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re de la consommation. Mais du fait même de ces «
progrès
», ou plutôt de cette progression et de sa rapidité, certains problèm
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de la mise en question des idées directrices du «
progrès
industriel », c’est-à-dire de la croyance dans le Progrès humain acqu
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industriel », c’est-à-dire de la croyance dans le
Progrès
humain acquis par la multiplication des objets et l’accroissement du
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ien tout saute ? Augmenter nos besoins, est-ce un
progrès
? Vers quoi ? Est-ce un pari raisonnable, ou une fuite en avant vers
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st dû en partie à l’automation, c’est-à-dire au «
progrès
» industriel, substituant la machine à l’ouvrier ; en partie aux énor
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qui paraît dominer désormais la relation entre le
progrès
industriel et le bien-être humain. Dans les pays industrialisés, la p
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tionaux dans lesquels nous voulions mesurer son «
progrès
». 3.Solutions possibles par l’union et par une restructuration c
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Europe des Six », puis des Neuf ou des Douze. Les
progrès
des multinationales s’inscrivaient dans cette prétendue « nécessité »
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ion industrielle. L’écologie nous rappelle que le
progrès
technique et la science elle-même ne peuvent rien contre les lois fon
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Et d’une manière plus générale : « À quel prix le
Progrès
matériel ? » Ce prix étant peut-être celui de notre milieu vital — de
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ur devoir civique, s’habituent à subordonner le «
progrès
» matériel au bien-être moral, le profit immédiat de quelques-uns aux
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vations essentielles dans une réaction contre les
progrès
de la centralisation stato-nationale, réaction plus profonde que tout
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s. Autour de ces colloques, dont chacun marque un
progrès
vers la synthèse des forces émergentes « pour l’Europe », foisonnent
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ivique, économique et culturelle de leur pays.
Progrès
, parfois spectaculaires À part les guerres d’agression et les cent
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les et les régions transétatiques. Cependant, les
progrès
sont notables, parfois spectaculaires, non seulement dans la prise de
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u, et dont la cause générale n’est autre que le «
Progrès
» imposé par les Occidentaux puis par leurs successeurs au pouvoir da
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a dégradation morale qu’inflige au tiers-monde le
Progrès
: depuis la fin de la dernière guerre, le CICR (Comité international