1 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
1 ées en dépit du réel au hasard des guerres et des traités . La division du continent en quelque 28 « souverainetés nationales ab
2 n 1950. La tendance économiste, elle, aboutira au traité de Rome, 1957, portant l’institution progressive d’un Marché commun,
3 ultative avec le Parlement de la CEE, créé par le traité de Rome, qui se réunit lui aussi à Strasbourg, et que les États ont d
4 f pays de la Communauté actuelle, conformément au traité de Rome signé en 1957. Une fois le Parlement élu, l’Assemblée consult
5 t, concrètement, de 1951, date de la signature du traité instituant la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA),
6 des Communautés, n’était nullement prévu dans le traité de Rome instituant le Marché commun ; il n’est pas du tout fédéral, e
7 plus pensable. Cela ne résulte pas seulement des traités ni de l’équilibre des forces armées, mais d’un sentiment profond des
8 Paix perpétuelle entre nos nations, régulièrement traité d’utopie ridicule quand il était revendiqué par un abbé de Saint-Pier
9 ement des décennies, au hasard des guerres et des traités . F.Ce qui n’a pas été fait jusqu’ici Tels étant les motifs de
2 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. V. La défense de l’Europe
10 épendance d’esprit généralement reconnues qui ont traité le problème de la défense globale de l’Europe contre une attaque mass
3 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. VII. Programme pour les Européens
11 dans le cadre des compétences que lui confère le traité de Rome, dont celle de voter le budget. Il s’agit là, dès l’origine d