1 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
1 vraie direction de la menace, et où l’on tend ses énergies dans une défense orientée vers le vide, cependant que l’Ennemi s’appr
2 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
2 rhumain qu’il développe pendant un discours ? Une énergie de cette nature, on sent très bien qu’elle ne saurait se manifester q
3 eux sera capable d’exécuter des actes étonnants d’ énergie et de discipline mécanique, jusqu’à la mort, terme idéal de toute pas
3 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
4 er peut nous faire mesurer toute la déperdition d’ énergie proprement spirituelle que représente notre « progrès moral ». Allez
4 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
5 s de vie haute, de vrais idéaux qui propagent une énergie , une force d’âme contagieuse. Presque toute la littérature immoralist
5 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
6 depuis quelque temps me fascine — « une certaine énergie calme, brillante et indomptable, telle que nous pouvons l’imaginer d’
7 naissance. On pourrait le traduire à peu près par énergie de l’âme, audace maîtrisée. 34. Baudelaire encore, en plein xixe si
6 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
8 ransfiguration, ou vers une lente dégradation des énergies . Ai-je assez montré l’efficacité du diable en tant que dénonciateur,
9 effet de sa propre action. Par la dégradation des énergies qu’il stimule et qu’il brasse en nous, il nous entraîne irréversiblem
10 records locaux et usure générale, condensations d’ énergies acquises au prix de l’uniformisation du milieu et de l’accroissement
11 ormule la loi de la dégradation irréversible de l’ énergie , et Clausius nommera entropie ce qui permet de mesurer l’augmentation
12 système indépendant. Les formes supérieures de l’ énergie — lumineuse, nucléaire, électrique — évoluent fatalement vers la form
13 évoluent fatalement vers la forme inférieure de l’ énergie calorifique. Eddington, dans les années 1930, avait calculé la venue
14 ’entropie n’est pas seulement la dégradation de l’ énergie , mais la disqualification de la vertu, de la vérité et de la vie. Le
15 iveaux les plus élevés et au prix d’une dépense d’ énergie négligeable. Donc facteurs de néguentropie. Rien de moins diabolique
16 même : déperdition, dégradation continuelle de l’ énergie produite en nous par les visions instantanées du But ultime, cause de
17 ais dans l’immense, lente et sûre dégradation des énergies humaines qui s’accomplit à la faveur d’un Progrès matériel incontesta