1 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
1 it aux journaux ? C’est un fait : l’homme moderne éprouve moins de peine à prêter foi aux mensonges du jour qu’aux éternelles v
2 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
2 nd ange déchu. Mais certains pensent pour l’avoir éprouvé en sa présence par une espèce de frisson d’horreur sacrée, qu’il étai
3 misère des temps et le sentiment d’impuissance qu’ éprouvent les individus dans notre monde démesuré, font qu’ils demandent et se
3 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
4 lle est trop avertie, elle offre trop de recettes éprouvées  : elle finit par ne plus croire au bien, ni au sérieux, ni à la naïve
5 eté, vous avez fait souffrir un être, vous pouvez éprouver du remords et le désir de réparer la faute. Mais si c’est par « amour
6 Dans cette liberté que l’homme lui laisse, elle s’ éprouve inconsciemment frustrée. La voici livrée à elle-même. Le jeu ou la co
4 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
7 souhaiter son pardon et son salut, mais encore d’ éprouver pour lui cette sorte d’attrait qui peut tourner en haine. Personnific
8 i, je suis bien forcé de croire au diable quand j’ éprouve son action dans la nôtre et que j’en souffre dans mon œuvre même. (Ma