1 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
1 ur astucieux, l’image automatique et médiévale qu’ éveille en nous le nom du diable est devenue la Tarnkappe, le manteau qui ren
2 per cet œil averti, pour abuser ce sens du mal qu’ éveille en nous la connaissance du Bien, comme le soleil fait renaître les om
2 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
3 re et la victoire, les peuples de la terre vont s’ éveiller dans un lendemain d’ivresse, une gueule de bois mondiale. — Que se pa
3 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
4 tourmenter sous des déguisements qui ne pouvaient éveiller nos soupçons. Le xixe siècle, sans s’en douter, a remplacé la Provid
4 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
5 dire de nos maux ? Et quelle est la vision qui m’ éveille  ? Je m’essaierai à la décrire, parlant désormais pour demain. 60.
5 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
6 nt, qu’aurais-je encore en propre ?45 Tout cela éveille , dans l’esprit d’un usager de la civilisation scientifico-technique e