1 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
1 ation, d’insignifiance et d’inertie finale où les déchets de l’être lentement se consument — dans ce ravin de la Géhenne dont n
2 la Géhenne on ne brûlait que des cadavres et des déchets , non ces vivants, ou survivants des plus conscients, avec lesquels s’
3 niformisation du milieu et de l’accroissement des déchets  ; et enfin un certain état du dosage des forces contraires toujours m
4 l’Enfer : le lieu de la permanente réduction des déchets de ce qui n’a plus de raison d’être. L’homme qui n’a pas de vocation