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ce d’esprit pur. Comme un artiste qui a perdu son
génie
et ne croit plus à la peinture, mais qui a conservé son « métier » et
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ns ou des haines qu’il excite. Et cela définit un
génie
, au sens démoniaque de ce terme. D’où lui vient le pouvoir surhumain
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monde, il ne vaut rien pour un destin pareil. Un
génie
n’est ni fou, ni bête, ni sensé, ni intelligent. Il ne s’appartient p
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es yeux ce personnage « grandiose » ou ce profond
génie
mélancolique que nous peint la littérature depuis Milton. Mais haïr e