1 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
1 e Parti. S’il n’y a plus de guerres, qui fera des héros  ? Qui réveillera le sens du sacrifice ? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais
2 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
2 centrale du Wilhelm Meister ? Goethe conduit son héros d’épreuves en surprises, par une volonté mystérieuse qui est celle du
3 complètement différent. 14. Je ne parle pas des héros de la guerre, mais de la paix. 15. Est-ce un si grand bien ? Pour le
4 Pour le grand nombre, oui, probablement. Pour le héros , non. Pour le saint, c’est indifférent. 16. Je pense à Mein Kampf, a
3 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
5 ’est pourquoi l’un des premiers malheurs de notre héros est de ne plus pouvoir aimer ni être aimé.) J’ai dit que la liberté d
6 s savons le mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de Stendhal : « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle,
4 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
7 achait au mot même, qui avait électrisé jadis les héros de la Révolution. La morale était ennuyeuse, et le gangster plein de
8 ébré par Burckhardt et par Nietzsche à propos des héros de la Renaissance. On pourrait le traduire à peu près par énergie de
5 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
9 , et quelles m’arrivent par procuration grâce aux héros auxquels il m’est possible de m’identifier le temps de mon rêve, sans