1 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
1 en Ange et Prince des ténèbres, l’a condamné à un impérialisme sans limites, donc par définition désespéré. La perte de l’Unique Néc
2 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
2 dire, égoïsme normal, soif de richesses, vulgaire impérialisme  ; ce qui est diabolique, c’est d’appeler cela « consolider la paix »
3 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
3 ou inconscient de ses croyants. Une image de leur impérialisme , ou une compensation rêvée de leurs défauts. Et ce fut le Dieu de la
4 e du désir, c’est une seule et même usurpation. L’ impérialisme des totalitaires traduit en politique les mêmes principes dont s’auto
5 r excuse et magnifie ce qui ne serait ailleurs qu’ impérialisme pur. Il est vrai que l’Évangile lui-même pardonne beaucoup à celle qu
6 : activité puissante et prostration, sacrifice et impérialisme , haine et tendresse, joie et douleur, sagesse et folie, vie et mort.
4 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
7 aberrant de nos techniques et par elles de notre impérialisme rationnel, nous a fait perdre, depuis quelques siècles, le sens cosmi