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nt qu’il n’existe pas, sinon comme accessoire des
mystères
médiévaux. Supposons un instant qu’il s’agisse là d’un camouflage pré
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u diable fut donnée aux Juifs par l’Orient et ses
mystères
dualistes, lorsqu’Israël était captif à Babylone. Mais ce sont les ra
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rit, il est devenu le messager du Néant et de ses
mystères
. Mais quoique déchu, il a gardé sa science d’esprit pur. Comme un art
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reste Quelqu’un. Il en sait plus que nous sur les
mystères
du monde et le secret des âmes qu’il abuse… 6. Le Prince de ce mon
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Ciel, qui est proprement l’âme de ce monde et le
mystère
du transcendant dans l’immanence. Il n’aura de notre univers que la c
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; pour se châtier soi-même sans réparer. C’est le
mystère
du suicide et la logique de Judas, la dernière tentation, la suprême
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de son propre mensonge. » Par ici nous entrons au
mystère
du mal. Le père de son mensonge est celui qui l’engendre, le conçoit
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ait, qui parût se rapporter de près ou de loin au
mystère
des oiseaux agresseurs. Un an s’écoula, sans progrès. Le médecin comm