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on qu’elle se présente à nous dans ses apparences
naïves
. On nous dit « Dieu » et nous voyons un grand vieillard à barbe blanc
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e diable n’est « rien d’autre » qu’une figuration
naïve
du péché ; en second lieu, nous n’aurions plus l’idée d’aller cherche
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ient les bases de notre optimisme et de notre foi
naïve
dans l’élimination progressive du mal par la Science et la Prospérité
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a réalité. Cet optimisme n’était pas la confiance
naïve
de l’enfant, mais une espèce de mensonge. Exactement : une fuite deva
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plus poétique du monde. Il est beau aux yeux des
naïfs
qui croient que le mal doit toujours être laid ; et il est d’une laid