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e leur culpabilité. En les fondant dans une masse
passionnée
, il exalte dans l’âme des plus déshérités une sensation de puissance
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profonde ambivalence dans certaines dénonciations
passionnées
de l’hitlérisme : la violence du ton et le simplisme obstiné de certa
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sence et d’absence infinie, créent chez tout être
passionné
l’illusion d’un transport mystique dans l’au-delà du bien et du mal.
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tiel qui corrompt secrètement l’amour. Certes, le
passionné
affecte souvent une sorte de respect méticuleux de la vérité, dans to
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es aimées, ardeur cruelle, — « tout et rien ». Le
passionné
finit par voir dans ses souffrances le signe même de l’authenticité d