1 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
1 able. Le christianisme lui donne un rôle dans les récits de la vie de Jésus. Et dans l’Apocalypse il est autorisé à régner sur
2 éation, ou les utiliser à contre-fin. La suite du récit montre bien que ce calcul lui-même allait à contre-fin. Pour avoir vo
3 e Mal » C’est le privilège d’un Dieu, selon le récit de la Genèse, que de connaître le Bien et le Mal. Les psychologues et
4 et plus puissants que nature. Alors, poursuit le récit , « l’impiété s’accrut ; et les créatures transgressèrent et corrompir
2 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
5 e temps. Bien qu’il ne soit pas mentionné dans le récit du chapitre onze de la Genèse, le diable est de toute évidence le pri
6 conomiques, politiques et urbaines.) Reprenons ce récit trop mal connu. « Toute la terre avait une seule langue et les mêmes
7 Cette déconvenue mémorable est attribuée par le récit biblique à la colère de l’Éternel, qui « descendit pour voir la ville
8 e l’homme contre Satan, c’est ce que fait voir le récit de la Chute. Croyez bien que ce n’est point par politesse que le serp
3 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
9 e. À ces notes de 1941, il me plaît d’ajouter le récit d’une soirée où nous fûmes « visités », dans notre maison de Ferney,