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ix de la comtesse Adélaïde, — je la connais à cet
écho
de joie dans mes pensées. Mais quelle approche me saisit ? Parfois, a
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u, et dont nous savons seulement que tout y a son
écho
le plus pur. Le voyage trompe un temps cette angoisse. J’irai cherche
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ments que l’on ne voit plus, mais qui renvoient l’
écho
familier de nos pas. Et ces rues qui tournaient doucement vers une pl
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licats. Puis une autre plus loin, et plusieurs en
écho
. Je ne savais plus, après ces années de New York, qu’il y a des cloch
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et l’âme ont leur théâtre pur, où tout est sens,
écho
, dialogue à l’infini. Ici la joie trouve un espace où se déployer san