1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
1 nt ; je me suis sans doute perdu et pourtant je n’ éprouve qu’une étrange sécurité. Présence, présence réelle… Comment j’ai pein
2 e sentiment d’absurdité foncière qu’il m’arrive d’ éprouver en face d’une action purement raisonnable. Ah ! quelle raison ici t’a
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
3 lotterai pas encore au-dessus de vous, et si je n’ éprouverai pas de l’amertume à voir que mes derniers désirs mêmes ne sont pas ac
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
4 nos fils appelleront douceur de vivre ? Déjà nous éprouvons que le monde a glissé dans une ère étrange et brutale, où ces formes
5 les déchirures de la brume. Mais de nouveau j’ai éprouvé la sensation de pénétrer dans une aire « sacrée », dans un territoire
6 l n’est pas fait pour vous, mais près de lui vous éprouvez une liberté. Et cette constatation, bien entendu, ne signifie rien su
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
7 identel ou d’étranger. Comment, moi si frileux, n’ éprouvai -je ce matin que bien-être, assis sur ce banc par cinq degrés à peine
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
8 e est cette hâte inconnue, qu’il se flattait de n’ éprouver jamais, bien au contraire, avant un rendez-vous ? Cette envie de crie