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ances, traînée d’espoirs délivrés qui nous frôle,
éveille
chez ceux qui restent un sentiment confus d’exil et de plaisir dont s
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de renaît dans des accords. Une mélodie hongroise
éveille
un vagabond angoissé, bienheureux : il se lève, il reconnaît son rêve
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a dû jouer un rôle dans mes cauchemars. L’aube m’
éveille
dans le faubourg de Budapest, cheveux en désordre, pantalon plissé, e
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ein jour, tu t’endors, et que, vers le soir, tu t’
éveilles
dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit du temps tu vis
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alète au ralenti, dans la fraîcheur sobre. L’on s’
éveille
enfin du long voyage nocturne, les yeux cessent de cligner, le corps
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out dans une couverture sous mon bras. La ville s’
éveille
et s’aère. Je me mets à gravir la colline parmi le bourdonnement des
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ges ailés. Le vent qui glisse à travers ce jardin
éveille
en elle une allégresse semblable au frémissement des hautes branches.
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arbre, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans
éveiller
le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Ma
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es sortes de sensualités et de gourmandises qui s’
éveillent
, en sont comme sanctifiées. Mais c’est le moment d’entamer le jambon
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dans nos vies. Nous sommes pareils à celui qui s’
éveille
et goûte encore quelques instants les délices d’un rêve inachevé. Mai
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si frais qu’il semblait que le monde venait de s’
éveiller
, luisant et neuf, de la première nuit… Et ces deux grands étés améric