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usiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté
aérienne
des arrivées, premiers regards aux rues croisées qui font des signes
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agnement dans les feuillages de voix fausses mais
aériennes
, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de pl
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hé et ces jolies syllabes décrivent mal un voyage
aérien
. Car voyager, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement attendre son