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e sur la vie, tout d’un coup, à trois heures de l’
après-midi
par exemple, — non sans angoisse. Café amer En Hongrie l’on est
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iel, là où doivent vivre ceux qui « chantent ». L’
après-midi
est immense. Nous buvons des vins dorés et doux que nous verse Ilonka
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u chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’
après-midi
est consacré à l’inspection des terres. Chaque jour nous partons en b
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bre, où pénètre la facilité atroce de la fin d’un
après-midi
, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… elle est tellemen
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gnes solitaires, je promène un adolescent. Tout l’
après-midi
j’ai rôdé, marchant, m’arrêtant pour écouter et respirer longuement,
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de feuillages — et trois heures de tennis chaque
après-midi
— cure vraiment : il s’agit de dissoudre ces angles droits, ces symét
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partis tout au début de la matinée. Voici déjà l’
après-midi
, voici le soir, nous volons contre le soleil et le temps coule deux f
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veno dans l’eau tiède et dorée, c’est la fin de l’
après-midi
, devant la proue de l’Isola Bella, vaisseau de rêve aux nombreux pont