1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
1 it va-t-il ainsi nous séparer ? Ce corps de femme défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soie et le velours, dans la lu
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 raisonnement fin, encore que juste, mais si je me défends du pittoresque, ce n’est qu’amour jaloux du merveilleux, avec quoi l’
3 endications d’hommes d’affaires. Ce qu’on prétend défendre , c’est son droit, ses intérêts. Mais, en Hongrie, le nationalisme est
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
4 turels, l’ample respiration élémentaire. Je ne défendrai pas les junkers… J’entends les gens de villes : « Ça ne doit pas ê
5 reprochent pas d’ignorer Proust. Mais quoi, je ne défendrai pas les junkers, dont le nom seul est une injure dans tant de bouches
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 e fille potelée, qui rit, — et qui doit savoir se défendre à l’occasion, mais comme elles font, pas trop tôt. 28 avril 1929
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
7 mal placés pour discuter cela, donc en somme pour défendre l’esprit, — qui était pourtant tout ce qu’il restait à défendre par n
8 rit, — qui était pourtant tout ce qu’il restait à défendre par nous, dans l’exil… Beekman Place New York, août 1943 Beekma