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qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait. Ma
mère
me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la rencontre de ton père
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car c’est la langue qu’elles apprennent de leurs
mères
». Combien j’aime ces sœurs des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Eu
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autre secret : il sait que l’un des frères de sa
mère
complote avec l’ex-kronprinz pour une restauration de l’Empire. Voilà
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e, « pour que vous ayez une compagnie ! », dit sa
mère
, avec un clin d’œil. C’est une jolie fille potelée, qui rit, — et qui
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erre ou en légume. On peut aimer un pays comme sa
mère
, un autre comme sa femme, un autre comme les femmes, un autre enfin c
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eux Allemands, et quinze Français. (Du côté de ma
mère
, du sang prussien, et de nouveau du sang français.) Mon arrière-grand