1
le Tarramagnou est un livre émouvant, d’une saine
puissance
. Il reste que Lucien Fabre a tenté, et en somme, réussi, une entrepri
2
léry, la supériorité de l’Europe réside dans sa «
puissance
de choix », dans le génie d’abstraction qui a produit la géométrie gr
3
riche pouvait-on rêver pour un psychologue de la
puissance
de Walpole, que l’âme russe — cette âme russe qui pour le Parisien re
4
et de largeur d’idées. Une soirée consacrée à la
fédération
vint interrompre les discussions philosophiques provoquées par ces de
5
rps et les lois du monde, et comment augmenter ma
puissance
de jouir, en même temps que ma puissance d’agir. Que tout cela s’agit
6
enter ma puissance de jouir, en même temps que ma
puissance
d’agir. Que tout cela s’agite sur fond de néant, je le comprends par
7
, Montherlant impose un tempérament lyrique d’une
puissance
contagieuse. Il y a là de quoi faire oublier des défauts qui tueraien
8
s athlètes en action, un tel livre communique une
puissance
physique, un mouvement vers la vie ardente qui peut entraîner l’âme d
9
res — perpétuel conflit du réel avec nos rêves de
puissance
: notre ambition la plus haute échoue. La tristesse règne sur nos vil
10
ais alors je le fausse, puisque je le prive de la
puissance
de se délivrer en gestes, en conséquences matérielles. Ce n’est plus
11
ion dans les moyens qu’il parvient à une certaine
puissance
de l’effet, aux dernières pages. Il règne dans la Maladère une étrang
12
l’image d’Irène Rezzovitch s’idéalise et gagne la
puissance
d’une merveilleuse obsession. Il lui écrit de longues lettres, sans l
13
au prétexte (avril 1927)o Ah ! je sens qu’une
puissance
étrangère s’est emparée de mon être et a saisi les cordes les plus se
14
lourdeur, tout cela communique une impression de
puissance
domptée et qui semble se faire une volupté de la discipline qu’elle s
15
t rester ample, d’une simplicité non dépourvue de
puissance
. Une fois de plus l’on peut admirer la salutaire leçon de style donné
16
: les caractères se résument dans son avidité de
puissance
. C’est par l’argent qu’on domine notre âge : il devient grand industr
17
ux cette croyance : nommer une chose, c’est avoir
puissance
sur elle. Images, pensées des autres, je vous ai mis un collier avec
18
ou d’une volonté de l’auteur. 15. Variante : des
puissances
d’action. 16. J’en vois certains qui arrangent leur vie de telle sor
19
erne au point d’en exclure toute considération de
finalité
. Mais cet aveuglement fondamental n’empêche pas notre industriel de p
20
-à-dire de démoralisation — qu’on se le dise ! —,
puissance
de crétinisation lente, standardisation de toutes les mesquineries na
21
: je prétends que l’instruction publique est une
puissance
conservatrice. — Pas moins ! Elle est destinée à légitimer par la for
22
e tout homme gagnerait à posséder une plus grande
puissance
intellectuelle, une meilleure mémoire, une sensibilité plus aiguisée.
23
mieux que le nombre parce qu’elle le contient en
puissance
. Et c’est pourquoi l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien
24
-à-dire de démoralisation — qu’on se le dise ! —,
puissance
de crétinisation lente, standardisation de toutes les mesquineries na
25
: je prétends que l’instruction publique est une
puissance
conservatrice. — Pas moins ! Elle est destinée à légitimer par la for
26
e tout homme gagnerait à posséder une plus grande
puissance
intellectuelle, une meilleure mémoire, une sensibilité plus aiguisée.
27
mieux que le nombre parce qu’elle le contient en
puissance
. Et c’est pourquoi l’aristocratie de l’esprit est nécessaire au bien
28
our la défense de l’homme et son illustration des
puissances
de nature inhumaine. Nous pourrons définir un tel humanisme : l’organ
29
y Clerc ; des révolutionnaires sans idéal et sans
puissances
de mythe ; des philosophes sans pente ni grandeur ; (Je mets au conco
30
on, aucune volonté supérieure de domination et de
puissance
… On ne se pose plus, en France, de questions qui dépassent un certain
31
nous les verront, dont l’esprit parviendra par sa
puissance
d’adoration, à se créer une part angélique. III L’amour, loin de cau
32
de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
puissance
, les allogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à y former la m
33
ppuyer au front comme une caresse indéfinie de la
puissance
. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues…
34
e dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes
puissances
d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
35
, personnage énigmatique qui possède une sorte de
puissance
militaire, sans doute irrégulière, dans le Siam, et auquel l’auteur p
36
s » de la vie sociale, au profit d’une volonté de
puissance
dont l’objet demeure assez incertain. Ce mystère qui entoure Perken d
37
’introduction à une série de romans intitulés Les
Puissances
du désert. 11. Le prix Goncourt, dit-on, eût été décerné à M. Malrau
38
ls touchent des problèmes identiques, celui de la
puissance
de l’homme, celui de la valeur de son action, celui, en somme, de l’i
39
te « constructiviste » répondra qu’il croit en la
puissance
de l’homme pour se dégager des servitudes provisoires de la technique
40
» — « Cependant, le Mont-Blanc luit là-haut ; la
Puissance
est là, la tranquille et solennelle Puissance aux mille aspects, aux
41
la Puissance est là, la tranquille et solennelle
Puissance
aux mille aspects, aux mille bruits. » Ce n’est plus l’homme que ces
42
plus adéquat à la nature alpestre. Il contient en
puissance
toute une morale de l’effort individuel et désintéressé, un construct
43
orale si elle n’a pas connu, ne fût-ce que par sa
puissance
de sympathie, la misère physique et matérielle du monde où nous vivon
44
des communistes. Et c’est l’un des secrets de sa
puissance
. ⁂ Mais il est temps de tirer de ce livre une conclusion capitale qui
45
la fois peureuse et agressive ? Il y faudrait une
puissance
décuplée, excessive, et qui, par la force des choses, tournerait bien
46
têtue qu’elle évoque peu à peu on ne sait quelle
puissance
naturelle, dans sa fascinante et grandiose monotonie. Art dont la mes
47
éalise dans sa vision, cet homme sera toujours en
puissance
d’aujourd’hui, enraciné profondément dans une permanente actualité.
48
même ce signe de la main — trahisse son immanente
puissance
. On voudrait dire — mais ce n’est pas si simple que cela — qu’il faut
49
ise de conscience plus juste et plus efficace des
puissances
goethéennes. ⁂ Rimbaud enfant écrit des poèmes « magiques » puis reno
50
e l’initiation. Mais on ne déchaîne pas de telles
puissances
impunément. « Ma santé fut menacée. La terreur venait… J’étais mûr po
51
’appliquer à distinguer dans ce vertige la réelle
puissance
d’une voix volontairement assourdie. Le silence de Goethe n’est pas m
52
. Que d’autres étalent en des écrits dépourvus de
puissance
, un goût du sang qui les marque à nos yeux de décadentisme bourgeois.
53
borne son désir à l’immédiat. — À la limite de la
puissance
, c’est la réaction goethéenne. Goethe en ce sens est bien l’antiallem
54
de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
puissance
, les allogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à y former la m
55
ppuyer au front comme une caresse indéfinie de la
puissance
. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues…
56
e dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes
puissances
d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
57
goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine
puissance
de l’esprit qui se concentre dans un désir ou dans un rêve. Le vin de
58
e samedi soir n’est plus cet infini repos dans la
puissance
et l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide, la mèche s
59
? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa
puissance
? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces châteaux perdus, dans c
60
t borne son désir à l’immédiat. À la limite de la
puissance
, c’est la réaction goethéenne. Goethe en ce sens est bien l’antiallem
61
de la façon dont ils traitaient, au temps de leur
puissance
, les allogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à y former la m
62
ppuyer au front comme une caresse indéfinie de la
puissance
. Soir de voyage, tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues…
63
e dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes
puissances
d’évasion intérieure. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
64
? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa
puissance
? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces châteaux perdus, dans c
65
goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine
puissance
de l’esprit qui se concentre dans un désir ou dans un rêve. Le vin de
66
e samedi soir n’est plus cet infini repos dans la
puissance
et l’être, mais seulement une usure des nerfs. Lampe vide, la mèche s
67
as moins forte. Toutes les sources détiennent une
puissance
radiante, et c’est ici la source du Rhin, du Rhône, et des deux plus
68
ion ordinaire du gouvernement, a l’exercice de la
Puissance
exécutrice. Ses membres sont à la nomination du Prince… Nulle ordonna
69
le des Citoyens, et demeure six ans en office. La
Puissance
législative est divisée et répartie d’une manière si compliquée qu’il
70
nt à l’horizon dans un paysage agité de la grande
puissance
diluvienne où maintenant descend, suspendue dans le soir et dans la t
71
us « actuels », plus directement mêlés au jeu des
puissances
modernes, que les Français ne le furent jusqu’à ces tout derniers tem
72
u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une
puissance
à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
73
isme n’est pas une puissance à notre disposition,
puissance
que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
74
celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de
puissance
et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
75
dans certains articles du Semeur , organe de la
fédération
chrétienne d’étudiants. Mais il y a là le germe d’un mouvement qui de
76
er. Signalons enfin la revue internationale de la
Fédération
des étudiants, le Student World, qui sous l’impulsion de W. A. Visser
77
es d’avance ! Comme si la foi était une espèce de
puissance
continuellement disponible entre nos mains incertaines, et que nous p
78
« Introduction à une discussion organisée par la
fédération
au Foyer international, le 15 janvier 1933. » Le Foyer international
79
la signature des vieillards ; elle repose sur la
puissance
révolutionnaire, c’est-à-dire sur la jeunesse de la nation. Mais la j
80
che : en face de mouvements qui tirent toute leur
puissance
de nos trahisons, nous avons à restaurer le principe permanent de not
81
ariat. Il était en droit d’attendre de vous cette
puissance
libératrice dont la bourgeoisie l’a frustré : l’esprit de création, l
82
e ses ancêtres consacraient à la création de leur
puissance
, du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
83
son but ; si le labeur et le repos n’ont plus de
finalité
commune ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dan
84
dialectique ? La métaphore ne tire-t-elle pas sa
puissance
de la nouveauté paradoxale des rapprochements qu’elle opère ? Ne jail
85
umises au primat de la masse, à l’anonymat et aux
puissances
de la matière. Pour nous l’homme est autre chose qu’une unité de comp
86
ste pas enfin à développer jusqu’au monstrueux la
puissance
abstraite de l’État. Le fondement de notre action est la liberté, le
87
e que pensent les réalistes à l’américaine. (Leur
puissance
ne reposait que sur l’illusion matérielle, monétaire : on a vu ce qu’
88
pouvait pas tromper. Il y avait là un homme, une
puissance
. Le défi de Marx et de Nietzsche était relevé. Le tirage du Römerbrie
89
l des mots d’ordre que l’on va répétant, de cette
puissance
de sérieux, de prise au sérieux des situations humaines telles qu’ell
90
ui seule permet un humour souvent rude ; de cette
puissance
critique enfin, au sens le plus créateur du terme, et qui met en état
91
une part, et d’autre part la prise de la main, la
puissance
de bouleversement concret. Il semblait que Dandieu incarnait cette im
92
n qu’il incarne et qui est aussi le ressort de sa
puissance
d’imagination concrète, de son acte ? Je me souviens d’avoir été vive
93
echerche humaine. Jamais Dandieu n’y dispersa ses
puissances
d’évaluation novatrice. On en trouvera des marques dans les notices e
94
ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la
puissance
, ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
95
e entre la commune et la région d’une part, et la
fédération
de l’autre.) Les principes qui sont à la base de l’économie et de la
96
iction. L’argent règne sur notre monde, comme une
puissance
occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
97
rte à lui. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Dans l’homme, le choix peut avoir lieu, effectivemen
98
arxistes. Mais ce qu’il décrit avec une véritable
puissance
, c’est l’aboutissement du marxisme : l’isolement cosmique de l’homme.
99
ent pas à eux-mêmes ; comment croiraient-ils à la
puissance
de la personne ? C’est le « prolétariat » personnaliste. On s’occuper
100
e réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
101
a volonté d’être hommes, et sachent s’emparer des
puissances
libératrices qu’on leur propose ; et c’est ce que ne font pas les bri
102
est pour lui qu’un mythe, dont il met en doute la
puissance
de soulèvement. « On comprend qu’un bourgeois risque sa peau pour la
103
que concluent les Compagnons, groupe fondé par la
Fédération
des étudiants chrétiens, sur le modèle des Équipes sociales de Robert
104
plus fécond et le plus populaire de son pays, une
puissance
sociale et religieuse dont l’Occident ne connaît pas d’exemple. Un ré
105
sère avec le nombre des ouvriers. Kagawa fonde la
fédération
japonaise du travail et prend la tête du mouvement ouvrier. Il condui
106
les outrages divers encourus par l’individu, les
Puissances
anonymes et le Standard seraient en voie de triompher, et ce serait a
107
l’esprit ? « L’esprit, dit Kierkegaard, c’est la
puissance
que le savoir d’un homme exerce sur sa vie.52 » Ce n’est pas le savoi
108
vie.52 » Ce n’est pas le savoir ; ce n’est pas la
puissance
, mais la puissance du savoir en exercice. Il y a bien de la différenc
109
as le savoir ; ce n’est pas la puissance, mais la
puissance
du savoir en exercice. Il y a bien de la différence. Le savoir autono
110
bien de la différence. Le savoir autonome, ou la
puissance
, font décorer celui qui les détient, mais l’exercice effectif du savo
111
sespoir total. Maintenant, tu vas témoigner de la
puissance
que ton savoir exerce sur ta vie. Tu te croyais un moi : témoigne que
112
populaire — n’ait été finalement utilisée par des
puissances
qu’elle avait négligées ou dont elle s’était faite complice. Nous avo
113
communs. L’Ordre, le Bien Public, la Richesse, la
Puissance
nationale, l’Honneur, l’Esprit, l’Amour, la Civilisation, — les lieux
114
utre mesure que l’argent, ce symbole unique de la
puissance
sans visage. Dire que le monde est devenu impensable, c’est avouer qu
115
mains, ou encore à ne rien penser qui n’engage en
puissance
notre être tout entier, corps et âme sans distinction. Apprenons à pe
116
tion. » Mais si cet ordre est défini par la seule
puissance
de l’État, nous crions au « fascisme » et à la contre-révolution. Tou
117
dicule ni trahison, nous qui n’avons aucune autre
puissance
. C’est dans cette recherche d’une mesure de l’homme et d’une définiti
118
qu’une utopie dont rien n’atteste la réalité, la
puissance
, la vérité. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec,
119
iction. L’argent règne sur notre monde, comme une
puissance
occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
120
a réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
121
anière un peu paradoxale, que ces lois perdent en
puissance
à mesure qu’elles gagnent en généralité. À mesure qu’elles s’éloignen
122
mission. Pour l’autre, la vocation sera comme une
puissance
qui fond sur lui, puissance trop forte pour ses forces, et qui l’entr
123
cation sera comme une puissance qui fond sur lui,
puissance
trop forte pour ses forces, et qui l’entraînera dans une aventure imp
124
’il se confie dans ses œuvres, et qu’il adore ses
puissances
. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance
125
u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une
puissance
à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
126
isme n’est pas une puissance à notre disposition,
puissance
que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
127
celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de
puissance
et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
128
9. Introduction à une discussion organisée par la
Fédération
des étudiants chrétiens au Foyer international du boulevard Saint-Mic
129
auserie donnée au cercle d’études marxistes de la
Fédération
des étudiants de Paris, au mois de mai 1933. 44. Cf. Aron et Dandieu
130
xtension, par la force, d’un principe de soi sans
puissance
: c’est le mot allemand Gleichschaltung — mise au pas — qui justifia
131
n déploiement plus généreux, plus intégral de ses
puissances
. Les prétentions totalitaires du communisme sont fondées, en effet, s
132
ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la
puissance
, ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
133
e entre la commune ou la région d’une part, et la
fédération
de l’autre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à définir une attitude spir
134
ble et qu’on pourrait n’en point parler. Mais les
puissances
mauvaises résistent, elles veulent durer, elles se défendent par la f
135
ne expression commune — des mots d’ordre — et une
finalité
vraiment nouvelle. C’est la doctrine qui crée, avec des révoltes conf
136
e ses ancêtres consacraient à la création de leur
puissance
, du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
137
son but ; si le labeur et le repos n’ont plus de
finalité
commune ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dan
138
ition ; les tâches politiques étant confiées à la
fédération
des « petites patries régionales ». « Primauté du spirituel », nous
139
ommunes ou les corporations, les syndicats ou les
fédérations
. Les attardés qui nous demandent : « Mais enfin, vous sentez-vous plu
140
a volonté d’être hommes, et sachent s’emparer des
puissances
libératrices qu’on leur propose ; et c’est ce que ne font pas les bri
141
ituel des prix Goncourt —, et qui le dit avec une
puissance
assez austère. ⁂ Six chômeurs allemands, anciens officiers et sous-of
142
atrie, cette image grandit en eux, prend forme et
puissance
, et c’est en elle qu’ils communient, c’est elle seule qui les soutien
143
ce titre, était loin d’évoquer avec une pareille
puissance
. J’ai eu l’occasion de dire, ici même, mon admiration pour les livres
144
Peut-être celui de la valence, c’est-à-dire de la
puissance
de combinaison d’un atome. Mais il nous faut laisser ce modèle mécani
145
matérialisme : il ne nie pas grossièrement notre
puissance
— ce serait une manière de la mieux provoquer — mais glorifiant le su
146
dicule ni trahison, nous qui n’avons aucune autre
puissance
. C’est dans cette recherche d’une mesure de l’homme et d’une définit
147
qu’une utopie dont rien n’atteste la réalité, la
puissance
, la vérité. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec,
148
iction. L’argent règne sur notre monde, comme une
puissance
occulte et pourtant méticuleusement tyrannique, comme une divinité qu
149
a réalité. Dans l’homme, la masse n’a pas plus de
puissance
que la personne. Et c’est dans l’homme qu’a lieu le choix, et non pas
150
anière un peu paradoxale, que ces lois perdent en
puissance
à mesure qu’elles gagnent en généralité. À mesure qu’elles s’éloignen
151
mission. Pour l’autre, la vocation sera comme une
puissance
qui fond sur lui, puissance trop forte pour ses forces, et qui l’entr
152
cation sera comme une puissance qui fond sur lui,
puissance
trop forte pour ses forces, et qui l’entraînera dans une aventure imp
153
’il se confie dans ses œuvres, et qu’il adore ses
puissances
. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance
154
u christianisme. ⁂ Le christianisme n’est pas une
puissance
à notre disposition, puissance que les hommes auraient eu le tort, si
155
isme n’est pas une puissance à notre disposition,
puissance
que les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de n
156
celle de la foi. Ce peut être sur une éthique de
puissance
et de service ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal human
157
2. Introduction à une discussion organisée par la
Fédération
des étudiants chrétiens au Foyer international du boulevard Saint-Mic
158
auserie donnée au cercle d’études marxistes de la
Fédération
des étudiants de Paris, au mois de mai 1933. 37. Cf. Aron et Dandieu
159
xtension, par la force, d’un principe de soi sans
puissance
: c’est le mot allemand Gleichschaltung — mise au pas — qui justifia
160
n déploiement plus généreux, plus intégral de ses
puissances
. Les prétentions totalitaires du communisme sont fondées, en effet, s
161
ons cherche la paix comme d’autres ont cherché la
puissance
, ou l’ordre, ou l’aventure, ou le plaisir. Cette ardeur est évidemmen
162
e entre la commune ou la région d’une part, et la
fédération
de l’autre.) Je ne puis m’attacher ici qu’à définir une attitude spir
163
ble et qu’on pourrait n’en point parler. Mais les
puissances
mauvaises résistent, elles veulent durer, elles se défendent par la f
164
ne expression commune — des mots d’ordre — et une
finalité
vraiment nouvelle. C’est la doctrine qui crée, avec des révoltes conf
165
e ses ancêtres consacraient à la création de leur
puissance
, du même coup elle décrète « forcé » le travail des classes chargées
166
son but ; si le labeur et le repos n’ont plus de
finalité
commune ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dan
167
ition ; les tâches politiques étant confiées à la
fédération
des « petites patries régionales ».