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re d’affirmation, une telle inquiétude, un amer «
à quoi bon
» percèrent soudain… Mais Montherlant se redresse vite, frappe du pie
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sément, d’en haut, le fameux minimum libérateur !
À quoi bon
libérer l’homme si, par ailleurs, on le prive du ressort même de sa l
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ée à l’extrême ne peut nous rapprocher que de l’«
à quoi bon
? », c’est-à-dire des questions métaphysiques que notre hâte même vou
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faut, il les domine de loin sur son terrain. Mais
à quoi bon
? Leurs objections ne sont fondées que sur un refus de principe, qu’i
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i vite être menée au triomphe de tes vainqueurs ?
À quoi bon
avoir résisté à la puissance des chefs païens, si maintenant tu ne pe
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e, dans l’enceinte de ses murs, des révolutions :
à quoi bon
si Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Nantes, Rouen, Lille, Strasbo
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ée à l’extrême ne peut nous rapprocher que de l’«
à quoi bon
? », c’est-à-dire des questions métaphysiques que notre hâte même vou
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rie-t-il. — Y pensez-vous ? réplique le Maréchal.
À quoi bon
? Laissez-le partir, ou plutôt… voyez-le ! — Vous avez raison, faites
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ils ne veulent plus rien faire contre la guerre,
à quoi bon
, on n’y peut rien de toute manière, buvons et fumons, car demain nous
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i vite être menée au triomphe de tes vainqueurs ?
À quoi bon
avoir résisté à la puissance des chefs païens, si maintenant tu ne pe